Déterminés au début de leur mouvement d’humeur à s’opposer à la limitation des frais des droits d’enregistrements civils et commerciaux pour l’attraction des investisseurs, selon les explications du ministre de la Justice, Aminata Touré, le Sytjuts a ainsi effectué plusieurs formes d’actions allant jusqu'au boycott des journées portes ouvertes de la Justice aux justiciables. Toujours, pour conserver ses avantages considérés comme des droits déjà acquis et face à l’intransigeance du gouvernement sur le plafonnement de ces frais de nantissement, les négociations entre les deux parties se sont prolongées jusqu’à hier. Le constat est que le Sytjust semble avoir changé de fusil d’épaule sur cette question. Selon les informations données par la Rsi, le secrétaire général du syndicat, Ousmane Diagne, a annoncé à la sortie de la rencontre avec la commission technique du gouvernement composée notamment des ministres de la Justice, de la Fonction publique et des Finances, que son syndicat a renoncé à la demande du retrait immédiat dudit décret. Il appelle désormais à sa « suspension » pour la tenue d’un dialogue serein.
Grève dans la Justice : Le Sytjust lâche du lestLe combat mené par le Syndicat des travailleurs de la justice depuis des semaines pour le retrait du décret présidentiel menaçant la survie du Fonds commun des greffiers, commence à changer de forme.Rédigé par leral.net le Samedi 20 Juillet 2013 à 12:41 | | 1 commentaire(s)|
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