Le torchon brûle entre les chauffeurs, membres du Snttrs et les autorités étatiques pour le respect des accords signés entre les deux parties. Ces derniers, très remontés contre les autorités étatiques, menacent de quitter la gare des « Baux maraîchers », le 04 mai prochain, pour exiger le respect du protocole d’accord. « Tout le monde est en colère dans cette gare des « Baux maraîchers » à cause des tracasseries policières sur les routes, de la concurrence déloyale, du maraudage au niveau de la gare routière », a déclaré, hier, Alassane Ndoye, Secrétaire général du Snttrs. M. Ndoye d'ajouter que rien n’a été respecté sur tout ce que l’Etat avait signé avec les chauffeurs. Aussi, lui et ses camarades ont-ils décidé, à partir du 04 mai, que tous les chauffeurs sortent de la gare routière et partent là où ils peuvent trouver leur gagne-pain en prenant des clients selon leur convenance : « Nous n’accepterons pas qu’un gendarme ou un policier nous arrête pour maraudage », avertit-il.
Le Snttrs compte d'ailleurs ne pas déposer le cahier des charges, ce vendredi 1er mai, à l’occasion de la fête du Travail. « Le pacte du dialogue social n’a rien réglé pour nous chauffeurs et autres acteurs du transport. C’est pourquoi, nous avons décidé de ne pas défiler ou de remettre notre cahier de doléances car les mêmes revendications sont là depuis trois ans et rien n’a été réglé », martèle encore M. Ndoye.
Pour rappel, le 12 août dernier, les chauffeurs du Snttrs étaient en grève pour protester contre les mesures imposées par le gestionnaire de la gare routière, lequel, disent-ils, voulait, interdire à tout chauffeur, qui n’avait pas de véhicule, d’entrer dans la gare routière.
Le Snttrs compte d'ailleurs ne pas déposer le cahier des charges, ce vendredi 1er mai, à l’occasion de la fête du Travail. « Le pacte du dialogue social n’a rien réglé pour nous chauffeurs et autres acteurs du transport. C’est pourquoi, nous avons décidé de ne pas défiler ou de remettre notre cahier de doléances car les mêmes revendications sont là depuis trois ans et rien n’a été réglé », martèle encore M. Ndoye.
Pour rappel, le 12 août dernier, les chauffeurs du Snttrs étaient en grève pour protester contre les mesures imposées par le gestionnaire de la gare routière, lequel, disent-ils, voulait, interdire à tout chauffeur, qui n’avait pas de véhicule, d’entrer dans la gare routière.