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Idy était d’accord pour se ranger derrière Macky

Les retrouvailles de la grande famille libérale sont un vœu du Secrétaire général du Parti démocratique Sénégalais (Pds), Me Abdoulaye Wade. Macky et Idy, après plusieurs échanges entre émissaires, n’ont pas réussi à accorder leur violon. Si Idrissa Seck était d’accord pour se ranger derrière Macky Sall, ce dernier affiche une certaine méfiance à l’encontre de celui-ci.


Rédigé par leral.net le Lundi 16 Septembre 2013 à 11:20 | | 7 commentaire(s)|

Idy était d’accord pour se ranger derrière Macky
Idrissa Seck et son parti Rewmi quitte la coalition Benno bokk yaakaar (Bby). Et pourtant, le président de Rewmi, Idrissa Seck, n’était pas contre l’idée de se ranger derrière le Président Macky Sall dans la perspective des retrouvailles de la grande famille libérale qui devait aboutir à la dissolution de la coalition présidentielle. Idrissa Seck a théorisé les grandes retrouvailles de la famille libérale. Aussi avait-il entamé des discussions fermes avec certains libéraux non concernés par la traque des biens supposés mal acquis. Dans cette large concertation avec ses frères libéraux, le maire de Thiès avait reçu Mahmoud Saleh sur la demande de ce dernier.

Dans la foulée, Serigne Mboup, proche de Macky Sall, ancien Directeur général de Petrosen, a pris langue avec certains dignitaires de l’ancien régime pour la reconstitution de la grande famille libérale. Au cours de ces multiples concertations, le maire de Thiès n’était pas contre l’idée de se ranger derrière le président de la République Macky Sall pour une large coalition libérale entendu que le retour en force de la famille socialiste dans l’appareil d’Etat le dérangeait. «La Présidentielle de 2012 a servi de Primaires. Macky Sall est sorti premier. Il va donc diriger la Coalition libérale», aurait soufflé Idrissa Seck à son hôte du jour.

Ainsi, la grande coalition libérale qui devrait être composée de l’Alliance pour la République (Apr), de Rewmi, de la Convergence démocratique Bokk Gis Gis et d’autres tendances libérales devrait aller aux Locales de 2014 sans Benno Bokk yaakaar (BBY) dont la dissolution serait programmée. Ainsi après les Locales, l’Assemblée nationale devrait être dissoute entendu qu’Idrissa Seck ne cracherait pas sur un mandat électif, il serait désigné comme le prochain président de l’Assemblée nationale autour d’une nouvelle majorité libérale.

Malheureusement, les négociations entre les protagonistes ont flopé. Le Président Macky Sall n’aurait pas trop confiance en Idrissa Seck, perçu comme un être controversé. La machine libérale a grippé. Les retrouvailles entre Idrissa Seck et Macky Sall sont tombées à l’eau. Le Rewmi pour marquer le ton vient de rompre les amarres. Toutefois, Macky Sall, en fin politique, continue de montrer à Idrissa Seck qu’il est le maître du jeu. Il a réussi ce que Me Abdoulaye Wade n’avait jamais réussi, casser la dynamique unitaire au sein du parti Rewmi en enrôlant ses plus grosses pointures (Oumar Guèye et Pape Diouf).

L'Observateur



1.Posté par sly le 16/09/2013 10:28 | Alerter
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TOUT CA N'EST QUE MENSONGES,BALIVERNES ET UN TISSU DE MENSONGES

2.Posté par ndiaye le 16/09/2013 10:32 | Alerter
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idy n’inspire confiance à personne il a la boulimie du pouvoir, c'est un ingrat, un trompeur vous pensez que les sénégalais sont dupes qui va votez pour lui.

3.Posté par mor sow le 16/09/2013 11:50 | Alerter
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ce merde de Ndiaye est entrain de dormir
je pense qu'il est fou
toi même tu vas vôter pour IDY
un vrai poiliticien,un homme poli,intégre, intelligent (machallah si domou diambour)
futur président de la République s'il plait au bon dieu
du courage IDYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY
Ndiaye, continue a réver, le réveil sera trés trés trés dur même
qui vivra, verra

4.Posté par tarkhiss le 16/09/2013 12:37 | Alerter
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ndiaye,moi je voterais pour idy inchala

5.Posté par malaw le 16/09/2013 12:39 | Alerter
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REWMI – APR, Pour que nulle n’en ignore !!


Rewmi ne pouvait pas se taire face aux dérives claniques, aux manques de visions de l’actuel régime et aux problèmes économiques vécus par la quasi-totalité des sénégalais. Ils ont sonné l’alerte à temps, très tôt d’ailleurs jusqu’à ce qu’on lui reconnaisse sa claire vision en feignant changer d’orientation politique et économique avec le remaniement survenu le 01 Sept 2013. Mais l’APR n’a pas pour autant cessé de les mépriser, de les piétiner, de les considérer comme rien du tout, de leur refuser leur liberté d’action et de ton pour finalement leur demander purement et simplement de quitter la coalition Benno Bokk Yakar (BBY). Devrait on se mentir entre membre d’une même coalition dans le seul but de se faire plaisir au dépend du peuple sénégalais qui nourrit beaucoup d’espoir sur BBY ? En l’absence de cadre de concertation formelle comment les orientations stratégiques sont prises par BBY (vous imaginez aisément qu’il n’y en a pas) ? Et quelles sont les mécanismes définis pour conseiller à bon escient le Président de la République sans passer par les médias (ils n’ont été non plus mis en place) ? Si à coté de tous ces manquements, tout ce qui est dit par le leader de Rewmi pour la bonne marche de la gestion étatique, est pris pour de la mauvaise parole, alors qu’en sourdine l’APR et son Président appliquent les bons conseils du maire de Thiés, l’idéal, la logique voudrait qu’ils quittent cette barque d’hypocrites qui ne mène pas à bon port. On ne gère pas un Etat avec ses émotions et en tâtonnant. La gestion d’un Etat est si sérieuse qu’on n’a pas le droit de faire dans le pilotage à vu encore moins dans les gonfle-dégonfles joues (question de paraître sérieux !). Il faut de la planification et de la méthode ! Mais, la démarche de l’APR a toujours été emprunte de mesquinerie. Adepte de la dissimulation, le Président de l’APR, Macky Sall, n’a jamais porté Idrissa Seck dans son cœur (c’est un secret de polichinelle). Il a essayé de le tuer politiquement, en 2005, relatant devant le corps diplomatique de « fausses vérités », il a, par la suite, refusé à son parti un récépissé avec des arguments à dormir debout, et là il cherche à neutraliser un parti qu’il considère comme « adversaire politique » au moment où ce dernier l’a plusieurs fois renouvelé son ambition de cheminer avec lui dans le cadre de la coalition présidentielle (BBY). Mais son obsession est telle qu’il ne peut pas le considérer comme un allié. Il met ainsi son projet d’isolement en marche. Débauchages dans les rangs d’un « adversaire politique », absence de concertation sur les questions majeures qui concernent et le pays et la coalition alors qu’ils n’ont de cesse de réclamer loyauté et allégeance de la part de Rewmi. C’est ainsi que jalons après jalons, Macky et son parti ont décidé de se séparer de Rewmi et de considérer comme néant son apport pour l’avènement de la seconde alternance survenue en 2012. Tout le monde sait aujourd’hui que c’est bien l’APR de Macky Sall qui est à l’origine de la rupture du 11 Sept 2013. Rewmi et Idrissa Seck ont déclaré, depuis l’annonce de leur soutien aux candidats de la coalition Macky 2012, ne servir que la Nation et jamais un clan. Cette vision claire de défendre tout ce qui est convenable et de déplorer tout ce qui est blâmable, n’a pas trouvé un écho favorable au sein de l’APR. Ils ne veulent pas entendre une voix discordante leur disant la vérité. Ils ont par conséquent orchestré la mise à l'écart de Rewmi et sont entrain de déployer, avec les mêmes méthodes que sous Wade, la machine à diaboliser le leader de Rewmi. Ils tentent de le peindre aux yeux de l’opinion comme quelqu’un qui n’est intéressé que par le pouvoir alors que l’APR et son leader ont été les premiers à se départir du combat de principe « de la place de l’indépendance » en Février 2012 dernier pour ne s’intéresser que de la conquête du pouvoir. Toutefois, lorsque vous défendez le bien être de chaque sénégalais, lorsque vous voulez participer à l’éclosion des talents de vos compatriotes, lorsque vous militez pour la sauvegarde des acquis républicains et démocratiques, aucune mise à l’écart, aucune tentative de diabolisation ne peut vous éclabousser. Rewmi continue sa voie, même isolé par l’APR, pour la défense des intérêts collectifs et de notre bien commun qui est le Sénégal. C’est cette seule finalité qui vaut la peine de se battre à bras le corps. La « grande querelle » c’est celle là que Rewmi a choisi d’affronter ! Les prochains jours seront surement délicats pour le maire de Thies et son parti politique, mais la voie de la vérité est une voie difficile sur laquelle on ne trouvera que des femmes et des hommes de convictions. Comme un serpent qui fait peau neuve, Rewmi se débarrassera de la mauvaise graine pour essayer de conquérir, sur la base d’une vision claire et d’une orientation politique cohérente, la confiance des sénégalais pour l’avènement enfin du « vrai changement ».
Haby Sirah Dia

6.Posté par Atypico le 16/09/2013 13:17 | Alerter
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Les cadres de BokK Gis Gis invitent Idrissa Seck et cie à former une coalition autour de Pape Diop
Lundi 16 Septembre 2013 - 14:30
Les cadres de la Convergence démocratique Bokk Gis Gis sont favorables à l’idée de la réunification de la grande famille libérale.



Les cadres de BokK Gis Gis invitent Idrissa Seck et cie à former une coalition autour de Pape Diop


Mais selon leur coordonnateur, Fallou Diop, cette réunification à la suite du départ de Rewmi de Benno Bokk Yaakaar ne peut se réaliser que si Idrissa Seck accepte de se ranger dernier Pape Diop. Car, dit-il, l’ancien président du Sénat est dépositaire légitime de l’héritage du libéralisme d’autant du temps de Me Abdoulaye Wade, il était de fait le secrétaire général adjoint du PDS. Poursuivant ses explications, Fallou Diop indique que Pape Diop n’a jamais renié le bilan issu de ce compagnonnage.
MLD
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1.Posté par Atypico le 16/09/2013 13:12 | Alerter

Pour le moment Idy a devant lui une autoroute Il ne doit surtout pas commmencer à flirter avec le PDS et BBG qui sont trop marqués par les errements du Wadisme et pour pouvoir attirer et fédérer les électeurs déçus par Macky et BBY. Cette tache lui incombe objectivement, mais il échouera à la mener à bien : s'il tergiverse, s'il oscille entre les uns et les autres, en recherche de soutiens de la part des vieux crocodiles des anciens partis, comme à son habitude,,si enfin il demeure sur son quant à Moi, 'il ne rompt pas avec l'autoritaristes vis à vis des membre et des cadres de son parti, 'il ne renonce pas à sa stratégie de victime d'un complot ,

7.Posté par Talibé Cheikh le 16/09/2013 15:55 | Alerter
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Moi je ne voterai pas pour Idy non pas parce que je suis contre l'homme, mais je ne partage pas ses options politiques. Jusqu'à présent, Idy ne nous a pas encore expliqué sa rencontre avec Wade en 2007 plombant ainsi toute la campagne électorale évitant ainsi à Wade une défaite prévisible, pourquoi Idy avait dit qu'il ne se présenterai jamais contre Wade et pourtant il l'a fait par deux fois, pourquoi Idy avait soufflé à l'opposition l'idée de boïcot des élections législatives de 2007, pourquoi son ridicule discour de Thiès de 2010 où il acceptait de se faire piétiner par Wade qu'il reconnait comme père, pourquoi il a raté le rendez-vous du 23 juin ETC.
Avant de voter pour lui, il faudra que Idy s'explique sur tous ces points. Mais je ne doute pas de la qualité et de la foi en Dieu de l'homme.

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