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Romario Dos Santos Alvers a commencé en 2012 à s'injecter un cocktail explosif de Synthol, d'huile et d'alcool dans les muscles pour les rendre plus volumineux. Il a alors rapidement vu ses biceps atteindre une circonférence de 63 cm chacun, lui donnant un aspect physique très impressionnant.
Sa dépendance a démarré au contact d'autres body-builders dans une salle de gym. "Je voyais ces grands types avec leurs bras énormes et je me suis lié d'amitié avec eux. Ils m'ont fait connaître le Synthol et j'ai été très excité par les résultats. J'ai ensuite perdu le contrôle", regrette-t-il aujourd'hui. "Au bout de quelque temps, j'ai dû employer des aiguilles pour taureaux tellement mes muscles s'étaient solidifiés", se souvient-il encore.
Au Daily Mail, cet ancien agent de sécurité confie: "Les médecins me disaient qu'une amputation était envisagée, car tous mes muscles étaient calcifiés". Heureusement, ceux-ci parviendront finalement à enlever les blocs de Synthol de ses muscles. Une tentative de suicide et un ultimatum de son épouse plus tard- elle est alors enceinte de six mois-, Romario prend alors conscience de son problème. "Je veux que les gens comprennent le danger, j'aurais pu mourir parce que je voulais de plus gros muscles. Ça n'en vaut pas le coup."
Romario n'a plus pris de Synthol depuis deux ans. L'homme va mieux, mais son apparence provoque toujours des réactions mitigées. Et lutter contre sa dépendance n'est pas tous les jours facile. Papa d'un petit garçon, il veut à présent mener un carrière de body-builder en restant "clean", assure-t-il.
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Sa dépendance a démarré au contact d'autres body-builders dans une salle de gym. "Je voyais ces grands types avec leurs bras énormes et je me suis lié d'amitié avec eux. Ils m'ont fait connaître le Synthol et j'ai été très excité par les résultats. J'ai ensuite perdu le contrôle", regrette-t-il aujourd'hui. "Au bout de quelque temps, j'ai dû employer des aiguilles pour taureaux tellement mes muscles s'étaient solidifiés", se souvient-il encore.
Au Daily Mail, cet ancien agent de sécurité confie: "Les médecins me disaient qu'une amputation était envisagée, car tous mes muscles étaient calcifiés". Heureusement, ceux-ci parviendront finalement à enlever les blocs de Synthol de ses muscles. Une tentative de suicide et un ultimatum de son épouse plus tard- elle est alors enceinte de six mois-, Romario prend alors conscience de son problème. "Je veux que les gens comprennent le danger, j'aurais pu mourir parce que je voulais de plus gros muscles. Ça n'en vaut pas le coup."
Romario n'a plus pris de Synthol depuis deux ans. L'homme va mieux, mais son apparence provoque toujours des réactions mitigées. Et lutter contre sa dépendance n'est pas tous les jours facile. Papa d'un petit garçon, il veut à présent mener un carrière de body-builder en restant "clean", assure-t-il.
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