"Plus de quarante ans après la décision historique des pères fondateurs de cette Institution, il faut rendre grâce à Dieu et se féliciter de ce qu’avec patience, rigueur et persévérance, le CAMES ait su concevoir et mettre en œuvre des programmes pertinents, crédibles et cohérents d’intégration de nos systèmes d’enseignement supérieur", a-t-il indiqué.
Le chef du gouvernement présidait l’ouverture de la 33ème session ordinaire du conseil des ministres du Conseil Africain et malgache de l’enseignement supérieur (CAMES).
Selon M. Dionne, dans son évolution au cours de ces trois décennies, le CAMES, conformément aux missions qui lui ont été assignées, a su "créer, consolider et faire monter en puissance les bases de l’harmonisation et de l’intégration de nos systèmes d’enseignement supérieur, au-delà de leurs différences, voire de leurs disparités".
"Ce résultat est d’autant plus à saluer que le CAMES, dans sa volonté de concrétiser la vision de ses fondateurs, n’a de cesse de s’inscrire dans une dynamique de progrès" a ajouté le Premier ministre.
Cela, a-t-il poursuivi, a fait de cette Institution, non seulement une instance de coordination et d’harmonisation de nos systèmes d’enseignement supérieur et de la recherche, mais un "instrument de coopération multilatérale permanente entre nos pays dans les domaines de la culture et de la science".
"Ma conviction est que le challenge du CAMES, d’être une institution à l’expertise avéré dans ses domaines d’activités propres et une véritable structure régionale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur est largement à votre portée", a dit Mohammed Boun Abdallah Dionne..
"Aujourd’hui plus qu’hier, nous nous mouvons dans un monde de plus en plus globalisé où la mutualisation des connaissances constitue une pierre angulaire dans l’édification de tout système d’enseignement supérieur capable de contribuer significativement à l’économie mondiale du savoir", a-t-il soutenu.
Pour le Premier ministre dans un monde de plus en plus globalisé, "il s’agit certes, de développer et de diversifier ses partenaires, mais plus encore, de promouvoir durablement le numérique dans la gestion administrative, la formation et la recherche, dans nos universités et centres de recherche".
APS
Le chef du gouvernement présidait l’ouverture de la 33ème session ordinaire du conseil des ministres du Conseil Africain et malgache de l’enseignement supérieur (CAMES).
Selon M. Dionne, dans son évolution au cours de ces trois décennies, le CAMES, conformément aux missions qui lui ont été assignées, a su "créer, consolider et faire monter en puissance les bases de l’harmonisation et de l’intégration de nos systèmes d’enseignement supérieur, au-delà de leurs différences, voire de leurs disparités".
"Ce résultat est d’autant plus à saluer que le CAMES, dans sa volonté de concrétiser la vision de ses fondateurs, n’a de cesse de s’inscrire dans une dynamique de progrès" a ajouté le Premier ministre.
Cela, a-t-il poursuivi, a fait de cette Institution, non seulement une instance de coordination et d’harmonisation de nos systèmes d’enseignement supérieur et de la recherche, mais un "instrument de coopération multilatérale permanente entre nos pays dans les domaines de la culture et de la science".
"Ma conviction est que le challenge du CAMES, d’être une institution à l’expertise avéré dans ses domaines d’activités propres et une véritable structure régionale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur est largement à votre portée", a dit Mohammed Boun Abdallah Dionne..
"Aujourd’hui plus qu’hier, nous nous mouvons dans un monde de plus en plus globalisé où la mutualisation des connaissances constitue une pierre angulaire dans l’édification de tout système d’enseignement supérieur capable de contribuer significativement à l’économie mondiale du savoir", a-t-il soutenu.
Pour le Premier ministre dans un monde de plus en plus globalisé, "il s’agit certes, de développer et de diversifier ses partenaires, mais plus encore, de promouvoir durablement le numérique dans la gestion administrative, la formation et la recherche, dans nos universités et centres de recherche".
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