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Incapable de les nourrir, il tue sa femme et sa fille unique


Rédigé par leral.net le Mercredi 26 Octobre 2016 à 00:27 | | 0 commentaire(s)|

Incapable de les nourrir, il tue sa femme et sa fille unique
Incapable de les nourrir, il tue sa femme et sa fille unique
Dominic Iyayi Ogar, est un quadragénaire vivant dans le village d’Okpoma Yala dans la zone gouvernementale locale de Cross River State au Nigeria. Ses beaux-parents sont en deuil à cause de son acte horrible, suite à l’assassinat horrible de sa femme et sa fille unique.

Ogar est soupçonné d’avoir commis l’acte ignoble le 8 Octobre, 2016 à Mpape, Abuja. Selon le Sunday Sun qui rapporte les propos du commissaire de police Mohammed Mustafa, Ogar qui dormait avec sa femme Omago âgée de 27 ans et Blessing leur fille unique de 2 ans dans le même lit, s’est réveillé brusquement au milieu de la nuit, a pris un couteau et poignardé les deux à mort.

Il a ensuite transporté les cadavres à proximité de l’école primaire de la région; il aurait écrit une petite note, qu’il a laissée à côté des cadavres, puis a couru se cacher dans sa ferme.
Sa mauvaise action, cependant, a été découverte lorsque l’un de ses voisins, Destin Onwusuaka, a remarqué une traînée de sang qui a conduit à la porte de la maison familiale. Dans une conversation avec Sunday Sun Onwusuaka a dit:

''Il était environ 07h00 quand j’ai découvert des taches de sang sur le sol et j’ai suivi la piste jusqu’à la porte de Ogar. Quand j’ai regardé dans la pièce, j’ai vu une mare de sang, mais je ne voyais pas le mari ou les victimes.
C’est plus tard que j’ai vu le lieu où les deux cadavres ont été déposés. J’ai crié en appelant nos voisins. Nous nous sommes ensuite rendus à la police pour signaler ce que nous avons vu. Nous avons commencé à rechercher le mari. Il a fallu quatre jours avant que nous puissions le voir et l’avons arrêté dans sa ferme le 11 Octobre, 2016''.

À l’heure actuelle, Mustafa dit que l’espoir d’Ogar de survivre est maintenant à la discrétion de la cour où il sera bientôt traduit pour répondre de son acte.

AFRK. M: FELICIAE

la rédaction