L’Ong « Publiez ce que vous financez » a classé, le 24 juin dernier, la Banque africaine de développement (Bad) au 4e rang des 47 institutions de développement actives dans le monde, dans son Indice de transparence de l’aide (Ati).
L’indice place la Banque dans la catégorie « la plus élevée » en matière de transparence, au même niveau que d’autres institutions telles que la Banque mondiale, la Banque asiatique de développement et le Programme des nations unies pour le développement (Pnud). « Alors que de gros montants d’aide sont réaffectés pour faire face à la riposte d’urgence à la Covid-19, la transparence de l’aide internationale est plus importante que jamais », a déclaré le directeur général de l’Ong « Publiez ce que vous financez », Gary Forster, qui publie cet indice annuel depuis 2011.
Le classement est basé sur plusieurs critères, notamment les finances et les budgets, les données en informations de base, la planification organisationnelle et la performance. Dans le nouvel indice, qui couvre l’année 2019, la Bad a obtenu 95,5 sur 100 en matière de transparence. Ce qui représente, selon les évaluateurs de l’Ong, une « amélioration significative » par rapport à son score de 2018.
Pour M. Forster, il est encourageant de constater que les données en matière d’aide, désormais partagées par une grande partie des principales agences d’aide au monde, sont en train de gagner en quantité, en qualité et en rapidité de diffusion. « A mesure que notre collaboration nous permet de combler les lacunes dans le paysage des données en matière d’aide, nous explorons avec un intérêt grandissant, la façon de répondre au mieux à la demande de données et à la participation à leur obtention », a souligné le patron de cette Ong
Swazi Tshabalala, première vice-présidente par intérim du Groupe de la Banque africaine de développement et responsable financière, s’est réjouie de cette performance. Selon elle, ce classement vient « couronner » l’engagement de l’institution en faveur de la transparence. D’après Mme Tshabalala, avec un volume de financement aussi vaste que celui affecté à la lutte contre la pandémie de la Covid-19, il est crucial que les citoyens des pays membres sachent où et quand la Bad investit dans le développement de l’Afrique.
L’indice place la Banque dans la catégorie « la plus élevée » en matière de transparence, au même niveau que d’autres institutions telles que la Banque mondiale, la Banque asiatique de développement et le Programme des nations unies pour le développement (Pnud). « Alors que de gros montants d’aide sont réaffectés pour faire face à la riposte d’urgence à la Covid-19, la transparence de l’aide internationale est plus importante que jamais », a déclaré le directeur général de l’Ong « Publiez ce que vous financez », Gary Forster, qui publie cet indice annuel depuis 2011.
Le classement est basé sur plusieurs critères, notamment les finances et les budgets, les données en informations de base, la planification organisationnelle et la performance. Dans le nouvel indice, qui couvre l’année 2019, la Bad a obtenu 95,5 sur 100 en matière de transparence. Ce qui représente, selon les évaluateurs de l’Ong, une « amélioration significative » par rapport à son score de 2018.
Pour M. Forster, il est encourageant de constater que les données en matière d’aide, désormais partagées par une grande partie des principales agences d’aide au monde, sont en train de gagner en quantité, en qualité et en rapidité de diffusion. « A mesure que notre collaboration nous permet de combler les lacunes dans le paysage des données en matière d’aide, nous explorons avec un intérêt grandissant, la façon de répondre au mieux à la demande de données et à la participation à leur obtention », a souligné le patron de cette Ong
Swazi Tshabalala, première vice-présidente par intérim du Groupe de la Banque africaine de développement et responsable financière, s’est réjouie de cette performance. Selon elle, ce classement vient « couronner » l’engagement de l’institution en faveur de la transparence. D’après Mme Tshabalala, avec un volume de financement aussi vaste que celui affecté à la lutte contre la pandémie de la Covid-19, il est crucial que les citoyens des pays membres sachent où et quand la Bad investit dans le développement de l’Afrique.
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