Communiqué du SATS relatif à la violence et saccages perpétrés par des « dockers journaliers ». Dans la journée du 8 mai 2024, venus pour soi-disant réclamer des droits concernant le versement par le Syndicat des auxiliaires de transport du Sénégal (SATS) de « Sukerou Koor» et de tenues que nous ne leur devons point, des individus malintentionnés ont exercé une violence inouïe contre notre personnel.
Composés essentiellement de dockers journaliers, communément appelés ''dockers sur carte d'identité'', ils ont cru nécessaire de violer tous les principes qui régissent notre secteur.
Par ce présent, le SATS rappelle que près de 40 personnes dont la situation a été jugée « précaire », avaient bénéficié l’année dernière, d'un soutien de la Direction du Port autonome de Dakar (PAD). Une aide composée de denrées comme le riz, le sucre, du café, dattes, entre autres. Estimant que ceci est un droit acquis, ces dockers au comportement non conventionnel et fortement répréhensible, qui n'honore pas notre secteur, au lieu de tenir compte de tous les avantages, en plus du strict respect de la législation en la matière, ont cru devoir user de la démagogie, de l'irresponsabilité et de la violence.
Ne se limitant pas à cela, ils ont battu et blessé une dame, responsable du pôle administratif du SATS.
Ces énergumènes, dont le comportement est aux antipodes des valeurs qui fondent le Port de Dakar, ne peuvent nullement nous nuire, ni remettre en question notre crédibilité acquise avec 28 ans d'expérience. Mieux, ils ne peuvent entraver le bon fonctionnement des activités portuaires.
Tout en les mettant en garde contre toute action récidiviste, le SATS se donne le droit de porter plainte afin que ce soient traqués ces brigands qui n'ont pas leurs places dans le port. Rien, absolument rien ne sera laissé au hasard pour la réparation du préjudice subi. Et, tout en décidant de se séparer de manière définitive de ces ''faux'' dockers, qui n'ont comme arme que la violence, le SATS tient à faire quelques précisions concernant leurs allégations relatives à un manque de transparence dans le traitement du personnel et/ou de favoritisme, qui sont totalement dénuées de fondement, voire fausses. À la limite, c'est de la pure diffamation.
Le SATS rappelle encore que ces dockers sur « carte d'identité », pour certains, ont respectivement 70.000 francs Cfa/semaine. Mieux, 600 tenues leur sont gratuitement octroyées.- ils bénéficient de 250 cartes Couverture maladie universelle (CMU) pour eux et leurs familles ⁃ 300 moutons pour la Tabaski 2023, avec un remboursement de 5000 francs Cfa, mensuel.
⁃ Prise en charge d'une opération du cœur en faveur d'un parmi eux, pour un montant de 2 millions francs Cfa.
Au-delà de ces points susnommés (entre autres avantages consacrés), le SATS tout en continuant de payer selon les règles, autant la prime de salissure que toutes les obligations réglementaires et légales régissant le secteur d’activité, poursuivra dans sa perpétuelle dynamique de motivation du personnel.
Pour finir, nous soulignons, persistons et signons que le décret 94-814 fixant les conditions particulières d'emploi des dockers des port du Sénégal, est scrupuleusement respecté dans le cadre du bon fonctionnement de toutes les activités professionnelles portuaires. À ce propos, nous demandons la révision de ce décret qui date de 1994, pour l’adapter aux réalités actuelles qui sous-tendent les activités professionnelles des ports.
Comme quoi, ces individus aux sombres desseins inavoués ne comprennent pas que ces comportements déviants n’ont pas de place dans un environnement professionnel. Nous condamnons ces actes avec la plus grande fermeté et ne céderons nullement à aucun acte de chantage. Aucun répit pour ces casseurs...
Insa Dieng,
Chef du service des Opérations Portuaires
Composés essentiellement de dockers journaliers, communément appelés ''dockers sur carte d'identité'', ils ont cru nécessaire de violer tous les principes qui régissent notre secteur.
Par ce présent, le SATS rappelle que près de 40 personnes dont la situation a été jugée « précaire », avaient bénéficié l’année dernière, d'un soutien de la Direction du Port autonome de Dakar (PAD). Une aide composée de denrées comme le riz, le sucre, du café, dattes, entre autres. Estimant que ceci est un droit acquis, ces dockers au comportement non conventionnel et fortement répréhensible, qui n'honore pas notre secteur, au lieu de tenir compte de tous les avantages, en plus du strict respect de la législation en la matière, ont cru devoir user de la démagogie, de l'irresponsabilité et de la violence.
Ne se limitant pas à cela, ils ont battu et blessé une dame, responsable du pôle administratif du SATS.
Ces énergumènes, dont le comportement est aux antipodes des valeurs qui fondent le Port de Dakar, ne peuvent nullement nous nuire, ni remettre en question notre crédibilité acquise avec 28 ans d'expérience. Mieux, ils ne peuvent entraver le bon fonctionnement des activités portuaires.
Tout en les mettant en garde contre toute action récidiviste, le SATS se donne le droit de porter plainte afin que ce soient traqués ces brigands qui n'ont pas leurs places dans le port. Rien, absolument rien ne sera laissé au hasard pour la réparation du préjudice subi. Et, tout en décidant de se séparer de manière définitive de ces ''faux'' dockers, qui n'ont comme arme que la violence, le SATS tient à faire quelques précisions concernant leurs allégations relatives à un manque de transparence dans le traitement du personnel et/ou de favoritisme, qui sont totalement dénuées de fondement, voire fausses. À la limite, c'est de la pure diffamation.
Le SATS rappelle encore que ces dockers sur « carte d'identité », pour certains, ont respectivement 70.000 francs Cfa/semaine. Mieux, 600 tenues leur sont gratuitement octroyées.- ils bénéficient de 250 cartes Couverture maladie universelle (CMU) pour eux et leurs familles ⁃ 300 moutons pour la Tabaski 2023, avec un remboursement de 5000 francs Cfa, mensuel.
⁃ Prise en charge d'une opération du cœur en faveur d'un parmi eux, pour un montant de 2 millions francs Cfa.
Au-delà de ces points susnommés (entre autres avantages consacrés), le SATS tout en continuant de payer selon les règles, autant la prime de salissure que toutes les obligations réglementaires et légales régissant le secteur d’activité, poursuivra dans sa perpétuelle dynamique de motivation du personnel.
Pour finir, nous soulignons, persistons et signons que le décret 94-814 fixant les conditions particulières d'emploi des dockers des port du Sénégal, est scrupuleusement respecté dans le cadre du bon fonctionnement de toutes les activités professionnelles portuaires. À ce propos, nous demandons la révision de ce décret qui date de 1994, pour l’adapter aux réalités actuelles qui sous-tendent les activités professionnelles des ports.
Comme quoi, ces individus aux sombres desseins inavoués ne comprennent pas que ces comportements déviants n’ont pas de place dans un environnement professionnel. Nous condamnons ces actes avec la plus grande fermeté et ne céderons nullement à aucun acte de chantage. Aucun répit pour ces casseurs...
Insa Dieng,
Chef du service des Opérations Portuaires