Les imams pensent qu’il serait mieux de poser le problème « sur la table des négociations » avec les acteurs pour trouver la meilleure formule, contre la mendicité des enfants des écoles coraniques. L’imam Assane Seck demande la résolution des « préalables » afin de pouvoir éradiquer ce phénomène. L’Association ne partage pas cette décision « brusque » du gouvernement d’interdire cette pratique, de peur qu’elle ne « bute sur certains problèmes dans son application ». Selon le 1er Vice-président de cette Association, le problème ne concerne pas seulement les conditions d’existence dans les « Daaras », mais il y’a également la question de la « pédagogie » à discuter. Les « Daaras » sont entrain de contribuer à faciliter l’accès à l’enseignement coranique dans le pays, il serait donc important de solliciter l’avis des personnes concernées pour trouver un « consensus » sur la question afin d’éviter des cas d’incompréhensions.
Interdiction de la mendicité des enfants: l’Association des imams et prédicateurs appelle à la concertationIl est du ressort du gouvernement de décider des mesures sur la sécurité des personnes, mais la « concertation » est importante pour la réussite des actions. C’est l’avis de l’Association des imams et prédicateurs du Sénégal par la voix de son 1er Vice-président, Imam Assane Seck.Rédigé par leral.net le Jeudi 7 Mars 2013 à 13:47 | | 3 commentaire(s)|
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