La visite qui a commencée vers midi s’est très vite transformée en liesse ponctuée de cris des marchands ambulants qui scandaient le nom de Pape Diop en chœur. Les effusions ont tant bien que mal étaient contenues jusqu’au moment ou deux voitures de police chargées d’agents arrivent en trombe près de la foule massée autour de Pape Diop sur le trottoir de l’avenue Ponty.
C’est là qu’un officier de police est venu barrer la route au leader de Bokk Gis-Gis lui intimant l’ordre de mettre fin à ce qu’il appelle « une manifestation interdite par la loi ».
La tension est vite montée d’un cran, car Pape Diop n’a pas accepté de se laisser faire répliquant sur un ton froid que c’est son « droit le plus fondamental de rendre visite à ses militants et que ce n’est pas de sa faute si les populations lui emboîtent systématiquement le pas lors de ses déplacement. »
Il a fallu que la foule elle mêle s’interpose et prenne partie pour Pape Diop pour que les policiers battent en retraite visiblement effarés par la résistance de Pape Diop qui n’en a pas moins ajouté que « ce pays est tombé bien bas. »
Xamlet.net
C’est là qu’un officier de police est venu barrer la route au leader de Bokk Gis-Gis lui intimant l’ordre de mettre fin à ce qu’il appelle « une manifestation interdite par la loi ».
La tension est vite montée d’un cran, car Pape Diop n’a pas accepté de se laisser faire répliquant sur un ton froid que c’est son « droit le plus fondamental de rendre visite à ses militants et que ce n’est pas de sa faute si les populations lui emboîtent systématiquement le pas lors de ses déplacement. »
Il a fallu que la foule elle mêle s’interpose et prenne partie pour Pape Diop pour que les policiers battent en retraite visiblement effarés par la résistance de Pape Diop qui n’en a pas moins ajouté que « ce pays est tombé bien bas. »
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