L’objet de la visite du Khalif de feu Serigne Mamoune Niasse au niveau de ce temple du savoir était de recueillir avec ses hôtes l’essentiel des questions qui mériteraient une réponse non seulement pour le «daara» de Koki, mais pour l’ensemble des centres d’éducation islamique du pays. Cette visite qui n’a occulté aucun aspect, les projets en exécution, a été suivie par des échanges sur les questions qui interpellent le système éducatif islamique en général et celui du «daara» de Koki en particulier.
Ce «daara» qui a été fondé par le vénéré et infatigable serviteur de l’Islam El Hadji Amadou Sakhir Lô à la veille de la seconde guerre mondiale, notamment en 1939, a offert en substance la formation à des milliers de jeunes dont la plupart venait des familles religieuses réparties entre Touba, Tivaoune, Kaolack, Thiès, Louga, St Louis pour ne citer que celles-là. Aujourd’hui, le centre d’éducation islamique de Koki regroupe un effectif de trois (3) à quatre (4) milles pensionnaires répartis en sections suivant le niveau d’enseignement acquis ou la classe d’âge.
Ces jeunes viennent de toutes les régions du Sénégal, mais aussi de certains pays voisins dont la Guinée, la Gambie et le Mali. Même si au passage d’énormes efforts sont entrain d’être effectués par des personnes ou organisations privées, les religieux, volontaires pour sa promotion, le «daara» de Koki aspirent aujourd’hui au renforcement des moyens de subsistance du centre autant au plan de l’enseignement dispensé, de la nourriture que dans le cadre de l’amélioration des conditions d’apprentissage. Aussi veulent-ils bâtir une dynamique forte en vue de booster l'éducation religieuse au Sénégal et traiter de manière formelle toutes les questions posées dans les centres d'enseignement de l'Islam.
Pour Serigne Mboup «les ressortissants du centre d’éducation islamique de Koki, apparemment sont des acteurs potentiels de la vie économique nationale et les autres segments de croissance. Ce sont aussi des personnes qui contribuent régulièrement à la confection du budget national, car honorant toujours le paiement de la taxe». Ces personnes, comme le consent Serigne Mboup, «doivent en conséquence bénéficier de la ristourne, autrement dit recevoir au même titre que les autres secteurs de l’enseignement l'appui régulier de l’Etat».
Il a été soutenu dans son réquisitoire par le coordonnateur national de la Nouvelle génération islamique, El Hadji Ibrahima Niasse qui, du reste, est aussi convaincu que le développement de notre pays ne peut être effectif que sur la base d’une implication des religieux à tous les niveaux dans la gestion des affaires publiques.
Ce «daara» qui a été fondé par le vénéré et infatigable serviteur de l’Islam El Hadji Amadou Sakhir Lô à la veille de la seconde guerre mondiale, notamment en 1939, a offert en substance la formation à des milliers de jeunes dont la plupart venait des familles religieuses réparties entre Touba, Tivaoune, Kaolack, Thiès, Louga, St Louis pour ne citer que celles-là. Aujourd’hui, le centre d’éducation islamique de Koki regroupe un effectif de trois (3) à quatre (4) milles pensionnaires répartis en sections suivant le niveau d’enseignement acquis ou la classe d’âge.
Ces jeunes viennent de toutes les régions du Sénégal, mais aussi de certains pays voisins dont la Guinée, la Gambie et le Mali. Même si au passage d’énormes efforts sont entrain d’être effectués par des personnes ou organisations privées, les religieux, volontaires pour sa promotion, le «daara» de Koki aspirent aujourd’hui au renforcement des moyens de subsistance du centre autant au plan de l’enseignement dispensé, de la nourriture que dans le cadre de l’amélioration des conditions d’apprentissage. Aussi veulent-ils bâtir une dynamique forte en vue de booster l'éducation religieuse au Sénégal et traiter de manière formelle toutes les questions posées dans les centres d'enseignement de l'Islam.
Pour Serigne Mboup «les ressortissants du centre d’éducation islamique de Koki, apparemment sont des acteurs potentiels de la vie économique nationale et les autres segments de croissance. Ce sont aussi des personnes qui contribuent régulièrement à la confection du budget national, car honorant toujours le paiement de la taxe». Ces personnes, comme le consent Serigne Mboup, «doivent en conséquence bénéficier de la ristourne, autrement dit recevoir au même titre que les autres secteurs de l’enseignement l'appui régulier de l’Etat».
Il a été soutenu dans son réquisitoire par le coordonnateur national de la Nouvelle génération islamique, El Hadji Ibrahima Niasse qui, du reste, est aussi convaincu que le développement de notre pays ne peut être effectif que sur la base d’une implication des religieux à tous les niveaux dans la gestion des affaires publiques.