La belle-mère est décédée des suites de ses blessures, à l’hôpital de Ourossogui, près de Matam, où elle avait été évacuée avec sa fille qui, elle, a été placée sous surveillance.
‘’Ma femme et moi, nous avons été tirés de notre sommeil par des cris provenant de la maison voisine. Arrivé sur les lieux, j’ai croisé dans un premier temps la jeune dame ensanglantée qui m’a dis qu’elle et sa mère ont attaquées par une personne non identifiée’’, a raconté un témoin.
Ce dernier affirme qu’il a trouvé la belle-mère dans une chambre de la maison, baignant dans son sang. Le témoin indique qu’il a alors pris sa charrette pour acheminer les deux blessées au poste de santé du village.
Mais après prodigué quelques soins, l’infirmier a demandé l’évacuation des patients, prévenant qu’il n’y avait ni carburant ni chauffeur pour l’ambulance.
Il a fallu la bonne volonté d’un parent proche pour évacuer les blessées et l’intervention des gendarmes pour maîtriser l’homme qui a opposé une résistance farouche aux habitants.
Selon les premières confidences recueillies dans le village, le seul tort de l’épouse a été d’avoir déserté le domicile conjugal pour regagner le domicile.
SOURCE APS
‘’Ma femme et moi, nous avons été tirés de notre sommeil par des cris provenant de la maison voisine. Arrivé sur les lieux, j’ai croisé dans un premier temps la jeune dame ensanglantée qui m’a dis qu’elle et sa mère ont attaquées par une personne non identifiée’’, a raconté un témoin.
Ce dernier affirme qu’il a trouvé la belle-mère dans une chambre de la maison, baignant dans son sang. Le témoin indique qu’il a alors pris sa charrette pour acheminer les deux blessées au poste de santé du village.
Mais après prodigué quelques soins, l’infirmier a demandé l’évacuation des patients, prévenant qu’il n’y avait ni carburant ni chauffeur pour l’ambulance.
Il a fallu la bonne volonté d’un parent proche pour évacuer les blessées et l’intervention des gendarmes pour maîtriser l’homme qui a opposé une résistance farouche aux habitants.
Selon les premières confidences recueillies dans le village, le seul tort de l’épouse a été d’avoir déserté le domicile conjugal pour regagner le domicile.
SOURCE APS