«Nous n’avons qu’un immeuble au Sénégal, c’est une maison familiale qui est en train d’être agrandie et rénovée au Point E, à Dakar, à laquelle s’ajoute celle située à la Sicap Rue 10 et une maison en construction à Touba. Nous n’avons pas d’appartement à Avenue Foch à Paris, ni de propriété dans la vallée Chevreuse, ni sur les bords de la Loire». C’est la réponse servie au Procureur spécial près la Cour de Répression de l’enrichissement illicite (Crei) Alioune Ndao, par Karim Wade et diffusée sur les antennes de la radio Zik FM. Poursuivant, l’ancien ministre d’Etat ajoute : «Nous n’avons pas de comptes en banque fournis, ni d’actions en bourse ou des titres d’émission». D’où, fait-il savoir à Alioune Ndao, toute sa fierté «d’appartenir à la famille de l’ancien président Abdoulaye Wade».
Karim Wade assure que pendant les douze années qu’il a dirigé le Sénégal, son père, Me Abdoulaye Wade a bénéficié de dizaines de milliards de Fcfa. Des sommes qui constituent «les fonds que l’Assemblée nationale, le plus régulièrement du monde, mettait à sa disposition sous forme de fonds politiques, de fonds d’aide et d’assistance, auxquels s’ajoutaient des fonds personnels des amis nantis». Ces montants cumulés font des dizaines de milliards. Mais, à en croire Karim Wade, «ces fonds, sa famille n’en a jamais profités». Commepreuve de la bonne gestion des deniers de l’Etat du Sénégal pendant les douze années qu’aura duré le magistère de Me Wade, l’ancien ministre d’Etat rappelle la célèbre déclaration de celui-ci en direction de maires français. «Si vous trouvez dans votre juridiction, un immeuble qui m’appartient, je vous le donne. Vendez-le et versez le produit à vos œuvres».
Cette traque déclenchée contre lui et ses avoirs supposés mal acquis ont fait de Karim Wade une victime innocente. Aussi, laisset-il éclater toute son amertume. «J’ai été injustement accusé, calomnié, privé de ma liberté d’aller et de venir et de l’affection de mes enfants et de mes proches». Mais il garde espoir tout de même car, affirme-t-il, «l’histoire de notre pays prouve que notre peuple, à juste titre, n’a jamais toléré l’injustice et qu’il a toujours sanctionné, en faisant prévaloir la vérité».
Karim Wade assure que pendant les douze années qu’il a dirigé le Sénégal, son père, Me Abdoulaye Wade a bénéficié de dizaines de milliards de Fcfa. Des sommes qui constituent «les fonds que l’Assemblée nationale, le plus régulièrement du monde, mettait à sa disposition sous forme de fonds politiques, de fonds d’aide et d’assistance, auxquels s’ajoutaient des fonds personnels des amis nantis». Ces montants cumulés font des dizaines de milliards. Mais, à en croire Karim Wade, «ces fonds, sa famille n’en a jamais profités». Commepreuve de la bonne gestion des deniers de l’Etat du Sénégal pendant les douze années qu’aura duré le magistère de Me Wade, l’ancien ministre d’Etat rappelle la célèbre déclaration de celui-ci en direction de maires français. «Si vous trouvez dans votre juridiction, un immeuble qui m’appartient, je vous le donne. Vendez-le et versez le produit à vos œuvres».
Cette traque déclenchée contre lui et ses avoirs supposés mal acquis ont fait de Karim Wade une victime innocente. Aussi, laisset-il éclater toute son amertume. «J’ai été injustement accusé, calomnié, privé de ma liberté d’aller et de venir et de l’affection de mes enfants et de mes proches». Mais il garde espoir tout de même car, affirme-t-il, «l’histoire de notre pays prouve que notre peuple, à juste titre, n’a jamais toléré l’injustice et qu’il a toujours sanctionné, en faisant prévaloir la vérité».