Agée seulement de 15 ans, Diénabou Diao est devenu une véritable icône au Fouladou. En classe de troisième et candidate heureuse à l’examen du brevet de fin d’études moyennes (Bfem), Diénabou Diao a émerveillé son monde ; elle a ravi la vedette à qui voulait la concurrencer. Là où ses camarades candidats peinaient à totaliser cent quatre vingt dix (190) points pour être admis d’office à cet examen, la jeune Diénabou a presque réussi le plein en engrangeant 315 points sur un maximum de 380. Ainsi Elle s’en sorte avec une moyenne de 18,52, un résultat qui fait saliver plus d’un. Ce qui lui a valu la première place de son centre d’examen au collège d’enseignement Moyen 1 de Kolda. Une performance qui a ému aussi bien les membres du jury que ceux de son milieu proche. Cette peule de bon teint a très tôt compris l’importance de la scolarisation. A en croire les propos de sa mère, Diénabou s’est toujours
classée parmi les meilleurs élèves de son niveau depuis qu’elle a commencé à fréquenter l’école. En classe de troisième elle a pu décrocher une moyenne annuelle de 17 en option sciences physiques. Et cela se justifie par le fait que Diénabou comme l’appelle ses proches, n’excelle et n’aime que les matières scientifiques, elle serait même tentée de détester un peu ses camarades qui n’aimeraient
pas ces matières. Son seul secret est qu’elle est toujours scotchée à un document ou cahier de leçons. « Par moment son père et moi l’obligeons à mener des activités distractives » a rajouté sa mère. Comme métier d’avenir, la meilleur élève de sa génération au Fouladou rêve d’enfiler la robe de médecin
pour sauver ces nombreuses femmes qui perdent la vie en donnant la vie. Après une journée bien remplie et que Diénabou est sur le chemin de retour au domicile, elle ne pense qu’au plat de « Thiébou
Diène » qu’elle aimerait trouver sur place, car dit elle, le riz au poisson est son plat préféré.
Diénabou Diao réussit cette performance pendant que le système éducatif sénégalais a du mal à orienter le choix des élèves vers les matières scientifiques. Pour susciter d’avantage l’émulation au sein
de cette école sénégalaise, des élèves comme Diénabou Diao méritent des encouragements mais aussi un suivi.
Source:koldainfosenfants
classée parmi les meilleurs élèves de son niveau depuis qu’elle a commencé à fréquenter l’école. En classe de troisième elle a pu décrocher une moyenne annuelle de 17 en option sciences physiques. Et cela se justifie par le fait que Diénabou comme l’appelle ses proches, n’excelle et n’aime que les matières scientifiques, elle serait même tentée de détester un peu ses camarades qui n’aimeraient
pas ces matières. Son seul secret est qu’elle est toujours scotchée à un document ou cahier de leçons. « Par moment son père et moi l’obligeons à mener des activités distractives » a rajouté sa mère. Comme métier d’avenir, la meilleur élève de sa génération au Fouladou rêve d’enfiler la robe de médecin
pour sauver ces nombreuses femmes qui perdent la vie en donnant la vie. Après une journée bien remplie et que Diénabou est sur le chemin de retour au domicile, elle ne pense qu’au plat de « Thiébou
Diène » qu’elle aimerait trouver sur place, car dit elle, le riz au poisson est son plat préféré.
Diénabou Diao réussit cette performance pendant que le système éducatif sénégalais a du mal à orienter le choix des élèves vers les matières scientifiques. Pour susciter d’avantage l’émulation au sein
de cette école sénégalaise, des élèves comme Diénabou Diao méritent des encouragements mais aussi un suivi.
Source:koldainfosenfants