Après le naufrage du bateau le Joola qui a fait plus 1500 morts, l’Organisation maritime internationale qui dépend de l’Onu a donné des recommandations à l’Etat du Sénégal pour que la marine marchande soit érigée en agence autonome du point de vue financier, humain et matériel. Ce, afin qu’elle joue pleinement son rôle de contrôle pour la certification de navigabilité en parfaite conformité avec le code de la marine marchande. Ce que l’Etat du Sénégal a accepté de faire en mettant en place l’Agence nationale des affaires maritimes en juin 2009. Une agence qui, à en croire le porte-parole des familles des victimes du bateau le Joola fait un excellent travail.
Sauf que ces derniers temps, l’Anam fait l’objet d’attaques de la part de tiers qui selon Boubacar Bâ, ne sont mus que par leur propres intérêts. « C’est à croire que certains veulent que le Sénégal revive un deuxième joola (il fait allusion au naufrage) », confie le porte-parole des familles des victimes du Joola à Leral.net.
À l’en croire, si l’Anam n’est pas renforcé, elle ne doit pas être affaiblie. C’est d’ailleurs pourquoi, il invite l’Etat au renforcement des capacités de l’Anam et « à être davantage vigilent afin de ne pas permettre à certains tapis dans l’ombre qui veulent qu’on revienne à l’ancien système qui a conduit au naufrage du Joola ».
Sauf que ces derniers temps, l’Anam fait l’objet d’attaques de la part de tiers qui selon Boubacar Bâ, ne sont mus que par leur propres intérêts. « C’est à croire que certains veulent que le Sénégal revive un deuxième joola (il fait allusion au naufrage) », confie le porte-parole des familles des victimes du Joola à Leral.net.
À l’en croire, si l’Anam n’est pas renforcé, elle ne doit pas être affaiblie. C’est d’ailleurs pourquoi, il invite l’Etat au renforcement des capacités de l’Anam et « à être davantage vigilent afin de ne pas permettre à certains tapis dans l’ombre qui veulent qu’on revienne à l’ancien système qui a conduit au naufrage du Joola ».