PATRICK LUCAS, PRESIDENT MEDEF
Composée d’une vingtaine de dirigeants de grandes entreprises et de PME, la délégation a rencontré les plus hautes autorités de l’Etat, ses homologues du secteur privé et partenaires potentiels ainsi que les représentants de la communauté internationale.
Selon le président du comité Afrique du Medef, Patrick Lucas, cette visite s’inscrit dans la continuité et le renforcement des relations établies entre les deux pays. " Les autorités rencontrées ne nous ont pas caché les difficultés liées aux finances de l’Etat. Je me réjouis du fait que l’apport de la France a été déterminant pour gérer la crise " , a-t-il déclaré.
Ayant visité l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique, M Lucas porte le jugement suivant : « j’ai rencontré une agence dynamique qui nous a fait part de ses réalisations et de ses projets. Ce que je peux vous dire, c’est qu’elle n’a pas du tout envie de fermer ses portes".
Interpellé sur la visite du président chinois au Sénégal et les perspectives qu’elle ouvre aux entreprises chinoises, M Lucas a déclaré que la France ne peut que s’en réjouir. « Dans le contexte actuel, on ne doit pas craindre la concurrence parce que c’est devenu une évidence que seules les entreprises capables de résister à la concurrence survivront. Toutefois, il faudrait qu’elle se fasse, selon les règles bien définies et applicables à tous », soutient-il.
En ce qui concerne la crise économique, M Lucas pense que pour amoindrir ses effets, le Sénégal doit privilégier les problèmes à court et moyen terme, et s’occuper de tout ce qui ne va pas en y associant les entreprises et en veillant à leur stabilité. « L’Etat doit être un « bon payeur », ce qu’il est rarement dans tous les pays. Mais c’est absolument nécessaire sinon le circuit économique s’effondre », note-t-il.
« Une entreprise privée ne peut fonctionner que dans un climat apaisé et sécurisé. La sécurité juridique, tout comme les relations avec les impôts et les délais de paiements, sont primordiales », indique-t-il par ailleurs.
Et de préciser : « le climat n’est pas mauvais, il est comme partout : perfectible. Les entreprises viendront avec d’autant plus de hâte qu’elles auront le sentiment de pouvoir consacrer l’essentiel de leurs préoccupations à leur activité économique, en évitant les tracas que l’on peut avoir, de manière générale, dans tous les pays du monde ».
Selon le président du comité Afrique du Medef, Patrick Lucas, cette visite s’inscrit dans la continuité et le renforcement des relations établies entre les deux pays. " Les autorités rencontrées ne nous ont pas caché les difficultés liées aux finances de l’Etat. Je me réjouis du fait que l’apport de la France a été déterminant pour gérer la crise " , a-t-il déclaré.
Ayant visité l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique, M Lucas porte le jugement suivant : « j’ai rencontré une agence dynamique qui nous a fait part de ses réalisations et de ses projets. Ce que je peux vous dire, c’est qu’elle n’a pas du tout envie de fermer ses portes".
Interpellé sur la visite du président chinois au Sénégal et les perspectives qu’elle ouvre aux entreprises chinoises, M Lucas a déclaré que la France ne peut que s’en réjouir. « Dans le contexte actuel, on ne doit pas craindre la concurrence parce que c’est devenu une évidence que seules les entreprises capables de résister à la concurrence survivront. Toutefois, il faudrait qu’elle se fasse, selon les règles bien définies et applicables à tous », soutient-il.
En ce qui concerne la crise économique, M Lucas pense que pour amoindrir ses effets, le Sénégal doit privilégier les problèmes à court et moyen terme, et s’occuper de tout ce qui ne va pas en y associant les entreprises et en veillant à leur stabilité. « L’Etat doit être un « bon payeur », ce qu’il est rarement dans tous les pays. Mais c’est absolument nécessaire sinon le circuit économique s’effondre », note-t-il.
« Une entreprise privée ne peut fonctionner que dans un climat apaisé et sécurisé. La sécurité juridique, tout comme les relations avec les impôts et les délais de paiements, sont primordiales », indique-t-il par ailleurs.
Et de préciser : « le climat n’est pas mauvais, il est comme partout : perfectible. Les entreprises viendront avec d’autant plus de hâte qu’elles auront le sentiment de pouvoir consacrer l’essentiel de leurs préoccupations à leur activité économique, en évitant les tracas que l’on peut avoir, de manière générale, dans tous les pays du monde ».