Nouvelle douche froide pour les partisans d’Ali Bongo qui s’extasiaient déjà à l’idée d’être enfin, reconnus par la France après la "victoire" d’Ali Bongo à la présidentielle gabonaise contestée d’août dernier.
Selon nos confrères de RFI qui ont joint le palais de l’Elysée pour en savoir plus sur la surinterprétation de ce message diplomatique, la réponse est elle, sans appel !
Ce courrier dont nous vous révélions hier, la teneur, avait été adressé le 9 août par le chargé d’affaires de l’ambassade de France au Gabon, au secrétaire général de la présidence gabonaise, Guy Rossanta Rignault.
Ce courrier diplomatique en tout point, était strictement adressé à l’occasion de la fête nationale du Gabon et ne constituait nullement, une "reconnaissance" du régime décrié de Libreville.
« C’est un simple courrier, traditionnel pour la fête nationale. C’est une pratique de l’Elysée », ont précisé à RFI, les services de la présidence française. La "reconnaissance" tant rêvée par le régime controversé de Libreville dont la réélection a été profondément remise en cause par l’Union européenne, devra encore attendre.
Un cinglant revers donc pour Ali Bongo et ses médias propagandistes, qui avaient tenté de surexploiter ledit message conventionnel de l’Etat français au peuple gabonais pour ses 57 ans d’indépendance.
info 241
Selon nos confrères de RFI qui ont joint le palais de l’Elysée pour en savoir plus sur la surinterprétation de ce message diplomatique, la réponse est elle, sans appel !
Ce courrier dont nous vous révélions hier, la teneur, avait été adressé le 9 août par le chargé d’affaires de l’ambassade de France au Gabon, au secrétaire général de la présidence gabonaise, Guy Rossanta Rignault.
Ce courrier diplomatique en tout point, était strictement adressé à l’occasion de la fête nationale du Gabon et ne constituait nullement, une "reconnaissance" du régime décrié de Libreville.
« C’est un simple courrier, traditionnel pour la fête nationale. C’est une pratique de l’Elysée », ont précisé à RFI, les services de la présidence française. La "reconnaissance" tant rêvée par le régime controversé de Libreville dont la réélection a été profondément remise en cause par l’Union européenne, devra encore attendre.
Un cinglant revers donc pour Ali Bongo et ses médias propagandistes, qui avaient tenté de surexploiter ledit message conventionnel de l’Etat français au peuple gabonais pour ses 57 ans d’indépendance.
info 241