Dans un communiqué de presse qui nous est parvenu, l’Uncs note : « Jamais un ministre du commerce n’a été aussi nul que Mamadou Diop « Decroix » au point d’avoir détruit le minimum de crédibilité qui restait à son arrivée à la tête de ce ministère. ». Pour l’Uncs, Mamadou Diop Decroix n’est que « le ministre courtier de Serigne Mboup Ccbm ».
Pour l’Uncs, « la passivité et le manque de moyens de la Direction du Commerce Intérieur font du Sénégal le premier dépotoir de produits malsains au monde ». A l’endroit toujours de Mamadou Diop Decroix, l’Uncs martèle : « Ses engagements et ses promesses sont un chapelet de mensonges qu’il va continuer à égrener à travers ses sempiternelles conférences de presses, exemple : les 19 mesures contre la vie chère ; la commercialisation des produits de la Goana ; le plan d’action National de Promotion et de Contrôle de la Qualité ; l’Assainissement du secteur de la boulangerie. ». Pour toutes ces raisons, soutient l’Uncs, « nous allons organiser la riposte pour qu’il parte. ».
Par ailleurs, l’Uncs se dit étonnée « de la surprise générale et du tintamarre fait autour de la vente d’actions de la Sonatel ». Elle s’étonne : « Mais où étaient les travailleurs de cette entreprise, quand les patriotes se penchaient au chevet du Sénégal à travers les assises nationales ? Nous savions tous que la détérioration des déficits budgétaires et extérieurs, les pertes d’importantes parts de marché à l’exportation, bref la mauvaise gestion de notre économie et de nos finances ne pouvaient qu’entraîner ce genre pratiques. Sentons-nous heureux, nous même consommateurs vendus à la France ? ».
- Par Mayaram -
Pour l’Uncs, « la passivité et le manque de moyens de la Direction du Commerce Intérieur font du Sénégal le premier dépotoir de produits malsains au monde ». A l’endroit toujours de Mamadou Diop Decroix, l’Uncs martèle : « Ses engagements et ses promesses sont un chapelet de mensonges qu’il va continuer à égrener à travers ses sempiternelles conférences de presses, exemple : les 19 mesures contre la vie chère ; la commercialisation des produits de la Goana ; le plan d’action National de Promotion et de Contrôle de la Qualité ; l’Assainissement du secteur de la boulangerie. ». Pour toutes ces raisons, soutient l’Uncs, « nous allons organiser la riposte pour qu’il parte. ».
Par ailleurs, l’Uncs se dit étonnée « de la surprise générale et du tintamarre fait autour de la vente d’actions de la Sonatel ». Elle s’étonne : « Mais où étaient les travailleurs de cette entreprise, quand les patriotes se penchaient au chevet du Sénégal à travers les assises nationales ? Nous savions tous que la détérioration des déficits budgétaires et extérieurs, les pertes d’importantes parts de marché à l’exportation, bref la mauvaise gestion de notre économie et de nos finances ne pouvaient qu’entraîner ce genre pratiques. Sentons-nous heureux, nous même consommateurs vendus à la France ? ».
- Par Mayaram -