‘’Il est important pou tout pays de connaître comment l’enseignement primaire élémentaire est conduit, comment les enfants on apprit, comment les enfants assimilent les leçons, quelle est le niveau de maîtrise des leçons qui ont été dispensées’’, a dit Modou Mboup à l’occasion de la cérémonie de "présentation des résultats définitifs de l’évaluation des apprentissages dans l’élémentaire".
Ces résultats sont le fruit d’un programme dénommé "Jangandoo", qui est mis en œuvre par le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales de l’Institut fondamental d’Afrique noire Cheikh Anta Diop de Dakar (LARTES-IFAN).
‘’C’est un rapport important, car l’éducation primaire est le premier maillon du système éducatif. C’est au primaire que sont souvent [acquises] de manière définitive les capacités et aptitudes de l’enfant à faire des études supérieurs plus tard’’, a-t-il dit.
Le programme ‘’Jangandoo’’ s’inscrit dans l’amélioration de la qualité de l’éducation en suscitant la prise de conscience sur les enjeux de la qualité dans l’éducation primaire au Sénégal tout en impliquant l’ensemble des parties prenantes, gouvernement, élu locaux, société civile, familles dans la réalisation d’une évaluation indépendante et périodique des apprentissages, selon le résumé du rapport.
L’objectif est de tirer le meilleur parti de l’apport de chaque entité et de bâtir un consensus fort pouvant faciliter les changements induits par la réalisation d’un rapport sur la qualité de l’éducation, ajoute la même source.
‘’C’est un rapport qui nous livre des résultats importants, intéressantd, parce qu’il nous permet de connaître le niveau d’appropriation par nos enfants des savoirs acquis à l’école’’, a dit le directeur de cabinet.
Selon Abdou Salam Fall, chercheur à l’IFAN, ‘’tout d’abord, les enfants ne savent pas lire, ils lisent de façon mécanique, mais on observe également que dans les situations où les manuels sont disponibles, les résultats sont de loin meilleurs’’.
‘’Nous observons en milieu urbain que les performances des enfants sont plus importantes qu’en milieu rural. Nous observons également que les enfants qui sont des familles pauvres ont des résultats plus faibles que (ceux issus) des familles moyennement pauvres et des familles riches’’, a-t-il ajouté.
‘’Nous avons vu que les lacunes qui sont cumulées par les jeunes depuis les premières années d’apprentissage les poursuivent négativement dans les niveaux de préparation suivants’’, a encore dit Fall.
Selon lui, ‘’il est donc impératif que les enseignants et différents acteurs de la communauté éducative se soucient de méthodes adaptées pour combler les gaps, notamment en lecture et en calcul au sein des cycles d’abord et entre les cycles’’.
SOURCE:FAC/OID/ASG
Ces résultats sont le fruit d’un programme dénommé "Jangandoo", qui est mis en œuvre par le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales de l’Institut fondamental d’Afrique noire Cheikh Anta Diop de Dakar (LARTES-IFAN).
‘’C’est un rapport important, car l’éducation primaire est le premier maillon du système éducatif. C’est au primaire que sont souvent [acquises] de manière définitive les capacités et aptitudes de l’enfant à faire des études supérieurs plus tard’’, a-t-il dit.
Le programme ‘’Jangandoo’’ s’inscrit dans l’amélioration de la qualité de l’éducation en suscitant la prise de conscience sur les enjeux de la qualité dans l’éducation primaire au Sénégal tout en impliquant l’ensemble des parties prenantes, gouvernement, élu locaux, société civile, familles dans la réalisation d’une évaluation indépendante et périodique des apprentissages, selon le résumé du rapport.
L’objectif est de tirer le meilleur parti de l’apport de chaque entité et de bâtir un consensus fort pouvant faciliter les changements induits par la réalisation d’un rapport sur la qualité de l’éducation, ajoute la même source.
‘’C’est un rapport qui nous livre des résultats importants, intéressantd, parce qu’il nous permet de connaître le niveau d’appropriation par nos enfants des savoirs acquis à l’école’’, a dit le directeur de cabinet.
Selon Abdou Salam Fall, chercheur à l’IFAN, ‘’tout d’abord, les enfants ne savent pas lire, ils lisent de façon mécanique, mais on observe également que dans les situations où les manuels sont disponibles, les résultats sont de loin meilleurs’’.
‘’Nous observons en milieu urbain que les performances des enfants sont plus importantes qu’en milieu rural. Nous observons également que les enfants qui sont des familles pauvres ont des résultats plus faibles que (ceux issus) des familles moyennement pauvres et des familles riches’’, a-t-il ajouté.
‘’Nous avons vu que les lacunes qui sont cumulées par les jeunes depuis les premières années d’apprentissage les poursuivent négativement dans les niveaux de préparation suivants’’, a encore dit Fall.
Selon lui, ‘’il est donc impératif que les enseignants et différents acteurs de la communauté éducative se soucient de méthodes adaptées pour combler les gaps, notamment en lecture et en calcul au sein des cycles d’abord et entre les cycles’’.
SOURCE:FAC/OID/ASG
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