Pour un permis côté à 15 points par exemple, chaque chauffeur de voiture qui fera un accident de circulation, ou une infraction au Code de la route, perdra des points (3 à 5) sur son permis de conduire. Le barème est fixé par les responsables chargés de l’exécution de cette disposition, et il dépendra sans doute de la nature de la gravité de l’infraction ou de l’accident. Ainsi, tout chauffeur qui aura le malheur de descendre jusqu’en dessous d’une note inférieure par exemple à 5 points sur son permis, se verra retiré le précieux document.
Il sera obligé de passer à nouveau l’examen d’obtention d’un nouveau permis pour être autorisé à conduire à nouveau. Ceci n’enlèvera à rien aux sanctions qui lui seront appliquées, conformément au Code de la route, selon les explications de Dramé Seck, le directeur général des Transports terrestres.
Face à ce projet du gouvernement, des chauffeurs montrent leur opposition à la mesure. Se voyant plus concernés par cette restriction sur les permis de conduire sans parler de la prise en compte des âges dans leur livraison en fonction des catégories, le Syndicat des transporteurs routiers du Sénégal affilié à la Cnts/Fc entend même mener des actions contre sa mise en œuvre. Gora Khouma et ses camarades ne pensent pas que ce permis à point va régler le problème de la récurrence des accidents, comme le souhaitent les autorités.
Hier en Conseil des ministres, le président de la République, Macky Sall, a instruit son gouvernement d’accélérer le processus de consultation avec les acteurs concernés pour la mise en œuvre de ce projet. Dans les nouvelles dispositions sur les transports terrestres, le Chef de l’Etat a aussi demandé aux responsables du Transport de réglementer l’accès des zones urbaines aux gros porteurs pour une meilleure organisation du transport et la sauvegarde de la sécurité des usagers.
Il sera obligé de passer à nouveau l’examen d’obtention d’un nouveau permis pour être autorisé à conduire à nouveau. Ceci n’enlèvera à rien aux sanctions qui lui seront appliquées, conformément au Code de la route, selon les explications de Dramé Seck, le directeur général des Transports terrestres.
Face à ce projet du gouvernement, des chauffeurs montrent leur opposition à la mesure. Se voyant plus concernés par cette restriction sur les permis de conduire sans parler de la prise en compte des âges dans leur livraison en fonction des catégories, le Syndicat des transporteurs routiers du Sénégal affilié à la Cnts/Fc entend même mener des actions contre sa mise en œuvre. Gora Khouma et ses camarades ne pensent pas que ce permis à point va régler le problème de la récurrence des accidents, comme le souhaitent les autorités.
Hier en Conseil des ministres, le président de la République, Macky Sall, a instruit son gouvernement d’accélérer le processus de consultation avec les acteurs concernés pour la mise en œuvre de ce projet. Dans les nouvelles dispositions sur les transports terrestres, le Chef de l’Etat a aussi demandé aux responsables du Transport de réglementer l’accès des zones urbaines aux gros porteurs pour une meilleure organisation du transport et la sauvegarde de la sécurité des usagers.