Interrogé dimanche par Radio futurs médias (RFM, privée), M. Ndiaye a demandé au gouvernement sénégalais d’’’exiger des Nations unis l’ouverture d’une enquête afin que les circonstances du décès de Sadia Faty soient éclaircies, dès lors que la famille du gendarme conteste la thèse officielle de la noyade’’.
‘’Je pense qu’il faut absolument prendre au sérieux les allégations de la famille de Sadia Faty car ce qui se passe quand des choses de cette nature arrivent est que les Nations s'en tiennent à l'enquête interne qui a été diligentée par les supérieurs de la personne décédée’’, a-t-il expliqué.
Selon des médias sénégalais, la famille de Sadia Faty conteste la thèse de la mort par noyade et souhaiterait porter l’affaire devant la justice.
Pour Assane Dioma Ndiaye, qui est aussi avocat au barreau de Dakar, une éventuelle constatation de blessure sur le corps de la victime ‘’remettrait en cause fondamentalement la thèse de la noyade’’.
De cet fait, ‘’les autorités sénégalaises diront aux Nations unis qu’ils ont eu raisons de penser qu’il ne s’agit pas d’un accident et que le Sénégal souhaiterait des investigations poussées et être associé dans l’enquête qui sera diligenté pour apaiser cette famille’’.
Le 15 octobre dernier, alors qu’il rendait visite aux militaires et au contingent de Police sénégalais servant au sein de la MONUSCO, le président de la République, Macky Sall, avait rendu hommage à ce gendarme de la SENFPU-2, décédé à Kananga, dans le Kassaï-Occidental.
APS
‘’Je pense qu’il faut absolument prendre au sérieux les allégations de la famille de Sadia Faty car ce qui se passe quand des choses de cette nature arrivent est que les Nations s'en tiennent à l'enquête interne qui a été diligentée par les supérieurs de la personne décédée’’, a-t-il expliqué.
Selon des médias sénégalais, la famille de Sadia Faty conteste la thèse de la mort par noyade et souhaiterait porter l’affaire devant la justice.
Pour Assane Dioma Ndiaye, qui est aussi avocat au barreau de Dakar, une éventuelle constatation de blessure sur le corps de la victime ‘’remettrait en cause fondamentalement la thèse de la noyade’’.
De cet fait, ‘’les autorités sénégalaises diront aux Nations unis qu’ils ont eu raisons de penser qu’il ne s’agit pas d’un accident et que le Sénégal souhaiterait des investigations poussées et être associé dans l’enquête qui sera diligenté pour apaiser cette famille’’.
Le 15 octobre dernier, alors qu’il rendait visite aux militaires et au contingent de Police sénégalais servant au sein de la MONUSCO, le président de la République, Macky Sall, avait rendu hommage à ce gendarme de la SENFPU-2, décédé à Kananga, dans le Kassaï-Occidental.
APS