La violence économique se traduit par un abandon dont la femme fait l’objet de la part de son mari qui la laisse à elle-même. Et pour expliquer cette forme de violence, Ndèye Ndoya Ndiaye prend l’exemple des femmes d’immigrés qui reçoivent des miettes. « Ce phénomène touche aussi les femmes d’immigrés qui reçoivent peu ou plus d’argent pour s’occuper de la famille », soutient-elle dans les colonnes de l'Observateur lu par Leral.net.
Pour la spécialiste des questions liées aux violences faites aux femmes, cet abandon fait que la femme entre dans une vie de déviance faite d’adultère ou de prostitution clandestine. « j’ai reçu des femmes en larmes qui ont avoué n’avoir eu d’autres choix pour nourrir leur progéniture », regrette-t-elle.
Pour la spécialiste des questions liées aux violences faites aux femmes, cet abandon fait que la femme entre dans une vie de déviance faite d’adultère ou de prostitution clandestine. « j’ai reçu des femmes en larmes qui ont avoué n’avoir eu d’autres choix pour nourrir leur progéniture », regrette-t-elle.