Il semble que les sénégalais, une bonne partie de nos compatriotes ne sont pas mus par le désir de s’acquitter d’un pilier de la religion musulmane. Le cinquième, en l’occurrence le pèlerinage à la Mecque. Ils font des pieds et des mains, remuent ciel et terre, participent à toute sorte de tontine, adhèrent à la première association, font le pied de grue devant les bureaux d’un parent nanti, chantent les louanges d’une autorité pour décrocher le sésame. Qui ne servira pas à se rapprocher de Dieu. Mais de continuer sur le chemin tracé par Satan.
Sinon comment comprendre qu’une fois en Arabie Saoudite pour les besoins du pèlerinage, que des sénégalais soient tentés par le vol ? Deux semaines après Ndèye Diagne Guèye qui a été accusée de vol d’un bijou d’une valeur d’un million de francs, voilà qu’un autre sénégalais, de surcroit un guide du nom de Babacar Thiam est accusé de complicité de vol d’une parure en or. Des comportements, même si la culpabilité de leurs présumés auteurs n’est pas toujours avérée n’honorent point le Sénégal. Si la médinoise a quitté la Mecque pour se rendre à Djeddah pour laver ses bijoux, Mr Thiam a été vu en train de discuter avec la voleuse.
Il ne s’agit pas là de jeter l’opprobre sur les nôtres, mais il faudrait que nos compatriotes qui se rendent aux lieux saints de l’Islam sachent qu’ils n’y vont pas à titre individuel. Ils y sont pour représenter un pays où 95 % de la population ne vit que pour la religion de Mouhamed (Psl). Par conséquent, ils devraient s’adapter aux préceptes de cette religion qui rappelons le, ne force la main d’aucun croyant à effectuer le pèlerinage. Lequel n’est que l’apanage de ceux qui en ont les moyens selon les recommandations de l’Islam.
Mais au Sénégal, il semble que c’est une question de privilège. De réussite sociale. Ce qui fait que pour donner une bonne image de lui, le sénégalais est prêt à casser sa tirelire pour qu’une fois en Arabie Saoudite verser dans le vol qui est aussi un péché qui doit être réprimé de la plus forte des manières. Si de tels pratiquent prospèrent, n’est-il pas urgent que le pèlerinage soit-interdit aux sénégalais, le temps que l’on remette les pendules à l’heure ?
Sinon comment comprendre qu’une fois en Arabie Saoudite pour les besoins du pèlerinage, que des sénégalais soient tentés par le vol ? Deux semaines après Ndèye Diagne Guèye qui a été accusée de vol d’un bijou d’une valeur d’un million de francs, voilà qu’un autre sénégalais, de surcroit un guide du nom de Babacar Thiam est accusé de complicité de vol d’une parure en or. Des comportements, même si la culpabilité de leurs présumés auteurs n’est pas toujours avérée n’honorent point le Sénégal. Si la médinoise a quitté la Mecque pour se rendre à Djeddah pour laver ses bijoux, Mr Thiam a été vu en train de discuter avec la voleuse.
Il ne s’agit pas là de jeter l’opprobre sur les nôtres, mais il faudrait que nos compatriotes qui se rendent aux lieux saints de l’Islam sachent qu’ils n’y vont pas à titre individuel. Ils y sont pour représenter un pays où 95 % de la population ne vit que pour la religion de Mouhamed (Psl). Par conséquent, ils devraient s’adapter aux préceptes de cette religion qui rappelons le, ne force la main d’aucun croyant à effectuer le pèlerinage. Lequel n’est que l’apanage de ceux qui en ont les moyens selon les recommandations de l’Islam.
Mais au Sénégal, il semble que c’est une question de privilège. De réussite sociale. Ce qui fait que pour donner une bonne image de lui, le sénégalais est prêt à casser sa tirelire pour qu’une fois en Arabie Saoudite verser dans le vol qui est aussi un péché qui doit être réprimé de la plus forte des manières. Si de tels pratiquent prospèrent, n’est-il pas urgent que le pèlerinage soit-interdit aux sénégalais, le temps que l’on remette les pendules à l’heure ?