La situation du Parti démocratique sénégalais (Pds) est telle que personne ne peut aujourd'hui dire de quoi l'avenir sera fait. C'est la même incertitude partout, il faut le dire'', s'empresse d'affirmer une source présente au Comité Directeur. Plus de deux ans après la perte du pouvoir, les manœuvres se font très intenses au sein du Pds. Et la personne d'Oumar Sarr attire toutes les attentions. Non pas seulement parce qu'il est d'extraction... trotskiste mais aussi et surtout parce qu'on le soupçonne d'avoir voulu mettre en place un bureau réduit qu'il piloterait lui-même.
En effet, si certaines questions ne sont pas évoquées en Comité directeur, une instance jugée ''trop vaste'' pour servir de cadre de prise de décision, le nombre de responsables politiques y siégeant, dépassant les deux cents. Mais visiblement, toutes fines qu'elles soient, les manœuvres du coordonnateur du Pds ont échoué devant le veto de plusieurs responsables dont des jeunes. Oumar Sarr a-t- il enterré son projet que certains jugent en off pertinent ? Rien n'est moins sûr ; car on le soupçonne de reculer pour mieux sauter. Lui, le trotskiste dont les relations avec Mahmout Saleh, l'homme du ''coup d'Etat rampant'', sont très surveillées. ''A tort'' confie un proche d'Oumar Sarr.
''Personne ne veut s'aliéner Me Wade...''
En vérité, dans la formation politique qui a piloté le gouvernail Sénégal de 2000 à 2012, tout le monde se prépare à faire le grand saut soit vers la majorité présidentielle ou vers plus de radicalité dans la posture. ''Le Pds est un parti que personne ne maîtrise. Personne ne peu savoir dans quel sens iront les choses'', renseigne une source très proche du Président Wade. Qui estime dans la même veine que ''personne ne veut cependant s'aliéner Me Wade qui a son mot à dire. En fait, chacun espère que Me Wade va porter son dévolu sur sa personne.
Ce qui les incite tous à la prudence. Il peut mettre à la retraite qui il veut car il a encore de l'autorité''. Et dans ce contexte, les jeunes du PDS semblent jouer le rôle de ''chiens de garde'' et pèsent bien par la force des choses. Selon des sources dignes de foi, aucune décision ne pourra être prise sans l'aval des jeunes du parti ''sur qui il faudra impérativement compter''.
Aujourd'hui, les jeunes semblent bien jouer le rôle de ''sentinelles''. Une posture bien confortable qui fait qu'ils sont craints, qu'ils soient du sud, du nord ou du centre du pays. Et dans ces manœuvres, il faudra sans nul doute ne pas oublier que le destin de Karim Wade va jouer. La traque des biens mal acquis a déjà fait geler ses activités à Me Ousmane Ngom. Pour quelqu'un comme Me Abdoulaye Wade, tout dépendra naturellement du sort qui sera réservé à son fils. Toute la question est sans doute de savoir si le Président Wade aura toutes les cartes en main au sein du PDS au moment où le couperet tombera.
EnQuête
En effet, si certaines questions ne sont pas évoquées en Comité directeur, une instance jugée ''trop vaste'' pour servir de cadre de prise de décision, le nombre de responsables politiques y siégeant, dépassant les deux cents. Mais visiblement, toutes fines qu'elles soient, les manœuvres du coordonnateur du Pds ont échoué devant le veto de plusieurs responsables dont des jeunes. Oumar Sarr a-t- il enterré son projet que certains jugent en off pertinent ? Rien n'est moins sûr ; car on le soupçonne de reculer pour mieux sauter. Lui, le trotskiste dont les relations avec Mahmout Saleh, l'homme du ''coup d'Etat rampant'', sont très surveillées. ''A tort'' confie un proche d'Oumar Sarr.
''Personne ne veut s'aliéner Me Wade...''
En vérité, dans la formation politique qui a piloté le gouvernail Sénégal de 2000 à 2012, tout le monde se prépare à faire le grand saut soit vers la majorité présidentielle ou vers plus de radicalité dans la posture. ''Le Pds est un parti que personne ne maîtrise. Personne ne peu savoir dans quel sens iront les choses'', renseigne une source très proche du Président Wade. Qui estime dans la même veine que ''personne ne veut cependant s'aliéner Me Wade qui a son mot à dire. En fait, chacun espère que Me Wade va porter son dévolu sur sa personne.
Ce qui les incite tous à la prudence. Il peut mettre à la retraite qui il veut car il a encore de l'autorité''. Et dans ce contexte, les jeunes du PDS semblent jouer le rôle de ''chiens de garde'' et pèsent bien par la force des choses. Selon des sources dignes de foi, aucune décision ne pourra être prise sans l'aval des jeunes du parti ''sur qui il faudra impérativement compter''.
Aujourd'hui, les jeunes semblent bien jouer le rôle de ''sentinelles''. Une posture bien confortable qui fait qu'ils sont craints, qu'ils soient du sud, du nord ou du centre du pays. Et dans ces manœuvres, il faudra sans nul doute ne pas oublier que le destin de Karim Wade va jouer. La traque des biens mal acquis a déjà fait geler ses activités à Me Ousmane Ngom. Pour quelqu'un comme Me Abdoulaye Wade, tout dépendra naturellement du sort qui sera réservé à son fils. Toute la question est sans doute de savoir si le Président Wade aura toutes les cartes en main au sein du PDS au moment où le couperet tombera.
EnQuête
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
