Un enfant talibé « écrasé » hier vers les coups de 8 heures sur la VDN par un véhicule, un autre malade et vomissant dans la rue. Le leader de Dooley Yaakay qui a assisté à cette scène dramatique se dit d’abord très choqué par ce spectre de tous les jours. Pour cela, dira-t-il, « le gouvernement doit nous rendre compte sur la situation de la réglementation des daaraas dans toute l’étendue du pays ».
Un cri de cœur qui va également à l’endroit de nos honorables députés qui doivent faire de cette question « une volonté de l’institution parlementaire ».
Mansour Ndiaye qui fait ainsi de la situation des talibés et des enfants de la rue, en général, une priorité, soutient mordicus qu’un pays qui veut émerger, -faisant ainsi allusion au projet Sénégal Emergent-, doit, d’abord être en mesure de prendre en charge tous ses enfants qui errent dans les rues.
« Après ils vont dire que c’est au nom de l’islam. Mais je défie quiconque. Car l’islam est une religion civilisée », a dit le leader de Dooley Yaakaar qui rappelle que « c’est l’Etat qui a la responsabilité de réglementer tous ces daaraas et d’assurer le bien être à nos enfants ».
Pour lui, « ils sont juste incapables ». Car, à chaque fois qu’il y a « un événement dramatique, il n’y a jamais de suivi ». C’est l’exemple du naufrage du bateau le Joola, l’incendie dramatique de la Médina, les accidents de la circulation surtout avec les surcharges de véhicule qui jalonnent notre vécu quotidien.
Un cri de cœur qui va également à l’endroit de nos honorables députés qui doivent faire de cette question « une volonté de l’institution parlementaire ».
Mansour Ndiaye qui fait ainsi de la situation des talibés et des enfants de la rue, en général, une priorité, soutient mordicus qu’un pays qui veut émerger, -faisant ainsi allusion au projet Sénégal Emergent-, doit, d’abord être en mesure de prendre en charge tous ses enfants qui errent dans les rues.
« Après ils vont dire que c’est au nom de l’islam. Mais je défie quiconque. Car l’islam est une religion civilisée », a dit le leader de Dooley Yaakaar qui rappelle que « c’est l’Etat qui a la responsabilité de réglementer tous ces daaraas et d’assurer le bien être à nos enfants ».
Pour lui, « ils sont juste incapables ». Car, à chaque fois qu’il y a « un événement dramatique, il n’y a jamais de suivi ». C’est l’exemple du naufrage du bateau le Joola, l’incendie dramatique de la Médina, les accidents de la circulation surtout avec les surcharges de véhicule qui jalonnent notre vécu quotidien.