Si le ministre de la Culture, Mbagnick Ndiaye, trouve cette question préoccupante, Il n’a néanmoins pas voulu donner suffisamment de détails. Sa raison, « pour ne pas déteindre sur le travail de l’Inspection générale d’Etat ».
Il estime ne pas vouloir et pouvoir avancer un chiffre exact de peur de dire un chiffre contraire à la réalité.
Il estime aussi qu’au terme du processus, le dossier sera remis à qui de droit, en l’occurrence le Président de la République, qui pourra le déclassifier afin que tout le monde soit au courant des résultats de l’investigation.
Parlant de la possibilité de remboursement de ce montant, il y a des procédures. Tout dépendra de la crédibilité des documents dont disposent les prestataires.
Pour les sanctions, le ministre estime qu’eu égard aux réglementations de la gestion financière, il y a des sanctions qui, forcément, découlent de fautes lourdes.
Il estime ne pas vouloir et pouvoir avancer un chiffre exact de peur de dire un chiffre contraire à la réalité.
Il estime aussi qu’au terme du processus, le dossier sera remis à qui de droit, en l’occurrence le Président de la République, qui pourra le déclassifier afin que tout le monde soit au courant des résultats de l’investigation.
Parlant de la possibilité de remboursement de ce montant, il y a des procédures. Tout dépendra de la crédibilité des documents dont disposent les prestataires.
Pour les sanctions, le ministre estime qu’eu égard aux réglementations de la gestion financière, il y a des sanctions qui, forcément, découlent de fautes lourdes.