’Le gouvernement s’est engagé à achever avec succès l’audit externe des dépenses extrabudgétaires et à poursuivre la bonne mise en œuvre de l’agenda des réformes structurelles, notamment en améliorant les systèmes comptable et de suivi du budget’’, lit-on dans le texte.
Les dépenses extrabudgétaires opérées en 2008 par des services relevant de l’Etat s’élèvent à quelque 50 milliards de francs CFA, indique le ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
Le ministère de l’Economie et des Finances précise que le gouvernement a pris cet engagement lors de la visite, du 3 au 9 février, d’une délégation du FMI au Sénégal.
La visite des représentants du FMI avait pour objet l’évaluation de la situation économique et financière du pays et la mise en œuvre de l’Instrument de soutien à la politique économique (ISPE).
L’ISPE permet au FMI de soutenir les pays à faibles revenus qui ne désirent pas bénéficier — ou n’ont pas besoin — de son concours financier, explique l’institution financière multilatérale sur son site.
Le FMI a estimé que, concernant la mise en œuvre des réformes structurelles du programme ISPE, ‘’le gouvernement a satisfait au critère d’évaluation portant sur la réforme des procédures de formulation du budget.’’
’’Les critères d’évaluation quantitatifs (de l’ISPE) feront l’objet d’une évaluation’’ du 24 mars au 3 avril prochains, annonce la même source, précisant que ce rendez-vous permettra d’examiner la mise en œuvre des mesures adoptées dans le cadre de l’ISPE depuis décembre dernier.
Sur un autre registre, ’’la situation économique et financière serait marquée par un léger ralentissement de la croissance économique en rapport notamment avec l’environnement international morose et corrélativement la baisse des transferts des émigrés’’, indique le département de l’Economie et des Finances citant la mission du FMI.
‘’Cette situation conduirait, poursuit le texte, à une diminution des revenus réels des ménages et donc une baisse de la demande adressée au secteur industriel. L’année 2009 devrait enregistrer un taux de croissance d’au moins 4% en raison notamment du redressement des ICS (Industries chimiques sénégalaises), après leur recapitalisation en 2008 et d’une bonne performance dans le sous-secteur agricole.’’
‘’Les services compétents du ministère de l’Economie et des Finances et le Fonds monétaire international se sont entendus sur le montant des impayés du secteur privé et les montants apurés au titre de ces impayés’’, ajoute le communiqué, sans davantage de précisions.
source aps
Les dépenses extrabudgétaires opérées en 2008 par des services relevant de l’Etat s’élèvent à quelque 50 milliards de francs CFA, indique le ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
Le ministère de l’Economie et des Finances précise que le gouvernement a pris cet engagement lors de la visite, du 3 au 9 février, d’une délégation du FMI au Sénégal.
La visite des représentants du FMI avait pour objet l’évaluation de la situation économique et financière du pays et la mise en œuvre de l’Instrument de soutien à la politique économique (ISPE).
L’ISPE permet au FMI de soutenir les pays à faibles revenus qui ne désirent pas bénéficier — ou n’ont pas besoin — de son concours financier, explique l’institution financière multilatérale sur son site.
Le FMI a estimé que, concernant la mise en œuvre des réformes structurelles du programme ISPE, ‘’le gouvernement a satisfait au critère d’évaluation portant sur la réforme des procédures de formulation du budget.’’
’’Les critères d’évaluation quantitatifs (de l’ISPE) feront l’objet d’une évaluation’’ du 24 mars au 3 avril prochains, annonce la même source, précisant que ce rendez-vous permettra d’examiner la mise en œuvre des mesures adoptées dans le cadre de l’ISPE depuis décembre dernier.
Sur un autre registre, ’’la situation économique et financière serait marquée par un léger ralentissement de la croissance économique en rapport notamment avec l’environnement international morose et corrélativement la baisse des transferts des émigrés’’, indique le département de l’Economie et des Finances citant la mission du FMI.
‘’Cette situation conduirait, poursuit le texte, à une diminution des revenus réels des ménages et donc une baisse de la demande adressée au secteur industriel. L’année 2009 devrait enregistrer un taux de croissance d’au moins 4% en raison notamment du redressement des ICS (Industries chimiques sénégalaises), après leur recapitalisation en 2008 et d’une bonne performance dans le sous-secteur agricole.’’
‘’Les services compétents du ministère de l’Economie et des Finances et le Fonds monétaire international se sont entendus sur le montant des impayés du secteur privé et les montants apurés au titre de ces impayés’’, ajoute le communiqué, sans davantage de précisions.
source aps