Sur le pourquoi de cet acte «indécent», l'accusateur raconte : «Pour la promotion et la victoire de la coalition ‘And Taxawu Askanwi’, quatre de mes camarades et moi avions lancé une campagne d’affichage lors des Locales. Après trois jours de durs labeurs, nous nous étions présentés à Gorom 1 et 2, avant de rejoindre la commune de Bambilor, le 22 juin 2014 vers 2 heures du matin. Arrivés à hauteur du terrain de football de ladite localité, nous avions croisé le convoi interminable de l’actuel maire».
A en croire le responsable libéral, puisqu’elle ne se doutait de rien, il avait conseillé à ses compagnons de rester sur place. Mais à sa grande surprise, Ndiagne Diop, accompagné par des nervis armés, l’a empoigné, insulté avant de lui asséner un violent coup à la figure. Pire, il l’a sorti de son véhicule et a pris la clé, avant de lui lancer : «Tu savais que je t’aurais un jour». Toujours dans son interrogatoire, M. Diop d’indiquer qu’«après son geste, le maire l’a laissé à la merci de ses inconditionnels, dont la fille Diè Diop qui l’abreuvait d’injures et Ibrahima Ngom, Elimane Wade, Ndiouga Diagne, Mbar Wade qui, par la suite, l’ont sévèrement tabassé. Et ces militants en question avaient déchiré toutes les affiches à l’effigie de Me Wade et écrit «Apr» sur toutes leurs voitures, non sans briser deux rétroviseurs. Des propos rapportés par Le Populaire.
A en croire le responsable libéral, puisqu’elle ne se doutait de rien, il avait conseillé à ses compagnons de rester sur place. Mais à sa grande surprise, Ndiagne Diop, accompagné par des nervis armés, l’a empoigné, insulté avant de lui asséner un violent coup à la figure. Pire, il l’a sorti de son véhicule et a pris la clé, avant de lui lancer : «Tu savais que je t’aurais un jour». Toujours dans son interrogatoire, M. Diop d’indiquer qu’«après son geste, le maire l’a laissé à la merci de ses inconditionnels, dont la fille Diè Diop qui l’abreuvait d’injures et Ibrahima Ngom, Elimane Wade, Ndiouga Diagne, Mbar Wade qui, par la suite, l’ont sévèrement tabassé. Et ces militants en question avaient déchiré toutes les affiches à l’effigie de Me Wade et écrit «Apr» sur toutes leurs voitures, non sans briser deux rétroviseurs. Des propos rapportés par Le Populaire.