D’un poids de 2,4 tonnes, ce satellite allemand avait été lancé en 1990 pour une mission de neuf ans. «Equipé d'un télescope à rayons X, il a permis de découvrir plus de 1.000 étoiles chaudes et cartographier environ 110.000 étoiles», indique le site Internet. Mais depuis 1999, il flottait, seul, dans l’espace, sans aucune utilité mais tout en se rapprochant de la Terre.
«Entre le 20 et 25 octobre»
Son atterrissage «pourrait arriver entre le 20 et 25 octobre» et l’endroit est inconnu, selon le Centre allemand pour l'aéronautique et l'aérospatial. Si UARS n’avait finalement pas causé de dégâts, les scientifiques allemands sont plus sceptiques pour Rosat malgré son passage dans l’atmosphère qui contribuera à l’enflammer et le détruire. «Plus de 20 à 40% de la masse totale du satellite pourrait retomber sur Terre sous la forme de débris plus ou moins importants», allant jusqu’à 400 kilos pour certains, explique ainsi MaxiSciences.
En cause, «une proportion supérieure à celle habituellement observée en raison des structures robustes de miroirs dont le satellite est équipé», indique le site Internet. Pour le moment, le Centre allemand pour l'aéronautique et l'aérospatial établit à «une chance sur 580 que l'engin arrive en Allemagne» et un sur 700.000 que le fragment touche un habitant.
Corentin Chauvel 20minutes
«Entre le 20 et 25 octobre»
Son atterrissage «pourrait arriver entre le 20 et 25 octobre» et l’endroit est inconnu, selon le Centre allemand pour l'aéronautique et l'aérospatial. Si UARS n’avait finalement pas causé de dégâts, les scientifiques allemands sont plus sceptiques pour Rosat malgré son passage dans l’atmosphère qui contribuera à l’enflammer et le détruire. «Plus de 20 à 40% de la masse totale du satellite pourrait retomber sur Terre sous la forme de débris plus ou moins importants», allant jusqu’à 400 kilos pour certains, explique ainsi MaxiSciences.
En cause, «une proportion supérieure à celle habituellement observée en raison des structures robustes de miroirs dont le satellite est équipé», indique le site Internet. Pour le moment, le Centre allemand pour l'aéronautique et l'aérospatial établit à «une chance sur 580 que l'engin arrive en Allemagne» et un sur 700.000 que le fragment touche un habitant.
Corentin Chauvel 20minutes