Après avoir fait plusieurs dizaines de victimes dans le sud de la Guinée, le virus Ebola a atteint la capitale Conakry. Les autorités sanitaires sénégalaises sont en alerte vu la proximité entre la capitale guinéenne et le Sénégal (300 km). Ce, d'autant plus que les commerçants et autres se ravitaillent à Diaobé et dans d'autres marchés sénégalais réputés. Selon L'Observateur, plusieurs réunions et briefing ont été organisés pour prendre toutes les dispositions préventives afin de barrer la route à cette maladie mortelle à propagation rapide.
« Il faut savoir que c’est une maladie virale, il n’y a pas de vaccin efficace contre cette maladie, aussi bien chez l’homme que chez l’animal. Ce que nous avons fait, c’est la réactivation du système de surveillance à l’échelle du pays. Nous avons envoyé des fiches techniques à toutes les structures sanitaires, de telle sorte que s’il y a un cas suspect, on puisse informer l’autorité supérieure pour qu’on puisse prendre les mesures adéquates. Les régions frontalières devront redoubler de vigilance par rapport à cette question », a déclaré le Docteur Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention.
La fièvre hémorragique à Ébola est une maladie virale très souvent mortelle. C'est une fièvre hémorragique foudroyante qui s'attaque à l'humain et aux autres primates, principalement transmise par la chauve-souris. Son apparition chez l'homme semble récente (premier cas recensé en 1976) bien que l'on retrouve chez certaines populations africaines des traces d'anticorps.
« Il faut savoir que c’est une maladie virale, il n’y a pas de vaccin efficace contre cette maladie, aussi bien chez l’homme que chez l’animal. Ce que nous avons fait, c’est la réactivation du système de surveillance à l’échelle du pays. Nous avons envoyé des fiches techniques à toutes les structures sanitaires, de telle sorte que s’il y a un cas suspect, on puisse informer l’autorité supérieure pour qu’on puisse prendre les mesures adéquates. Les régions frontalières devront redoubler de vigilance par rapport à cette question », a déclaré le Docteur Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention.
La fièvre hémorragique à Ébola est une maladie virale très souvent mortelle. C'est une fièvre hémorragique foudroyante qui s'attaque à l'humain et aux autres primates, principalement transmise par la chauve-souris. Son apparition chez l'homme semble récente (premier cas recensé en 1976) bien que l'on retrouve chez certaines populations africaines des traces d'anticorps.
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