Les libéraux de France ont noté avec regret le fait que l’image du Sénégal est de plus en plus "écornée" depuis l’avènement de ce "pouvoir prédateur" dont le seul leitmotiv reste "le mensonge, le tâtonnement, l’intimidation, le harcèlement, …".
L’histoire de la médiation pénale soulevée par monsieur Abdou Latif Coulibaly, porte parole du gouvernement et les différents démentis qui s’en sont suivis au sein de la mouvance présidentielle sont "une parfaite illustration et montrent que Macky Sall et son équipe n’ont pas encore saisi l’importance et la portée leur mission", selon les membres du bureau de la fédération du Parti démocratique sénégalais de France
Ils rejettent toute idée de médiation pénale "car l’accepter c’est faire aveu de culpabilité et exige dés lors, l’exclusion du parti de tout responsable qui serait tenté par une telle proposition". La fédération lance ainsi un appel à tous les libéraux qui sont victimes du harcèlement de la justice politicienne et arbitraire de Macky Sall "à résister dans la dignité, la grandeur et la loyauté car la prison n’a jamais été un frein à l’accession au pouvoir sinon Maitre Wade ne serait jamais président de la République", disent-ils dans un communiqué parvenu à Leral.
Par la même occasion, la fédération demande la démission "pure et simple de monsieur 20%" qui, selon elle, "après un tel camouflet ne peut plus prétendre légitimement porter la parole du gouvernement encore moins gérer le portefeuille de la bonne gouvernance".
Le Parti démocratique sénégalais/France rappelle aussi à Macky Sall l’application du programme pour lequel il a été élu pour soulager la souffrance des Sénégalais qui "depuis le 25 mars 2012 sont désabusés par l’amateurisme et l’incompétence d’un gouvernement dont la seule préoccupation reste le démantèlement du PDS", crachent les libéraux établis au pays de François Hollande.
L’histoire de la médiation pénale soulevée par monsieur Abdou Latif Coulibaly, porte parole du gouvernement et les différents démentis qui s’en sont suivis au sein de la mouvance présidentielle sont "une parfaite illustration et montrent que Macky Sall et son équipe n’ont pas encore saisi l’importance et la portée leur mission", selon les membres du bureau de la fédération du Parti démocratique sénégalais de France
Ils rejettent toute idée de médiation pénale "car l’accepter c’est faire aveu de culpabilité et exige dés lors, l’exclusion du parti de tout responsable qui serait tenté par une telle proposition". La fédération lance ainsi un appel à tous les libéraux qui sont victimes du harcèlement de la justice politicienne et arbitraire de Macky Sall "à résister dans la dignité, la grandeur et la loyauté car la prison n’a jamais été un frein à l’accession au pouvoir sinon Maitre Wade ne serait jamais président de la République", disent-ils dans un communiqué parvenu à Leral.
Par la même occasion, la fédération demande la démission "pure et simple de monsieur 20%" qui, selon elle, "après un tel camouflet ne peut plus prétendre légitimement porter la parole du gouvernement encore moins gérer le portefeuille de la bonne gouvernance".
Le Parti démocratique sénégalais/France rappelle aussi à Macky Sall l’application du programme pour lequel il a été élu pour soulager la souffrance des Sénégalais qui "depuis le 25 mars 2012 sont désabusés par l’amateurisme et l’incompétence d’un gouvernement dont la seule préoccupation reste le démantèlement du PDS", crachent les libéraux établis au pays de François Hollande.