Informés par une prostituée qui a préféré garder l’anonymat de la présence du fugitif à Nguinaw-Rails, les gardes pénitentiaires amenés par celui-même qui était de garde le jour de l’évasion ont trouvé A. D. tranquillement assis en train de deviser avec des amis.
Le détenu ne s’est pas fait prier de prendre ses jambes à son cou lorsqu’il a reconnu les gardiens de prison qui, après 20 minutes de course poursuite, ont tiré deux coups de feu qui ont atteint l’évadé à la cuisse. Il est actuellement alité à l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye avec les deux pieds menottés.
Le fugitif qui est sous une surveillance policière sans commune mesure était venu semer le désordre dans une maison close, satisfaisant sa libido, frappant et emportant téléphones portable, argent des travailleuses du sexe.
Excédée par les agissements d’A. D., très menaçant avec ses armes blanches, une des péripatéticiennes a eu le courage d’alerter les gardes pénitentiaires qui n’ont eu aucune difficulté à mettre la main sur ce coutumier du fait après une folle course poursuite dans les dédalles du quartier périphérique.
A.D. repris, les hommes de loi courent toujours derrière ses deux autres compères, A. S. et P. Nd., qui avaient pris la poudre d’escampette avec lui le même samedi 6 juin dernier.
Le détenu A. D. dont la dernière évasion s’était déroulée au commissariat central de Louga alors qu’il était en garde-à-vue avait alors fait deux ans de cavale, rappelle-t-on.
Le détenu ne s’est pas fait prier de prendre ses jambes à son cou lorsqu’il a reconnu les gardiens de prison qui, après 20 minutes de course poursuite, ont tiré deux coups de feu qui ont atteint l’évadé à la cuisse. Il est actuellement alité à l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye avec les deux pieds menottés.
Le fugitif qui est sous une surveillance policière sans commune mesure était venu semer le désordre dans une maison close, satisfaisant sa libido, frappant et emportant téléphones portable, argent des travailleuses du sexe.
Excédée par les agissements d’A. D., très menaçant avec ses armes blanches, une des péripatéticiennes a eu le courage d’alerter les gardes pénitentiaires qui n’ont eu aucune difficulté à mettre la main sur ce coutumier du fait après une folle course poursuite dans les dédalles du quartier périphérique.
A.D. repris, les hommes de loi courent toujours derrière ses deux autres compères, A. S. et P. Nd., qui avaient pris la poudre d’escampette avec lui le même samedi 6 juin dernier.
Le détenu A. D. dont la dernière évasion s’était déroulée au commissariat central de Louga alors qu’il était en garde-à-vue avait alors fait deux ans de cavale, rappelle-t-on.