Le document parcouru par nos confrères de L’As fait état de "contusions multiples, de luxations, de fractures de côtes, d’hémorragie interne et d’une plaie au niveau du foi. Dr Gisèle Woto Gaye de l’hôpital Aristide Le Dantec a conclu à une mort à la suite de coups et blessures avec objets contondant". Un rapport qui met littéralement en cause l’Armée qui avait été indexé par la famille de la victime comme auteur de sa mort. Informé de cette affaire, alors qu’il était en tourné à Bignona, le Secrétaire exécutif d’Amnesty international, Seydi Gassama, s’est également indigné de cet acte avant d’exiger que toute la lumière se fasse. Il a également interpellé le Président Macky Sall sur les cas d’exaction de l’armée sur les populations civiles en Casamance.
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