Selon L'Observateur, Macky Sall a vivement dénoncé cette façon de faire qu'il assimile à de la pression. Il aurait même recadré Nafi Ngom Keïta avant d'annoncer le démarrage des travaux de l'Ofnac avec un budget de 500 millions FCFA.
"J’ai été surpris en tant que chef de l’Etat, qui ai décidé de la création d’un organe pour renforcer notre gouvernance, de me retrouver d’être accusé de ne pas vouloir développer une politique de transparence. L'Ofnac est un appareil de l'Etat, ses problèmes doivent être posés au sein de l'appareil de l'Etat. S'il y a un problème de budget ou de nomination, je ne dois pas l'apprendre par la presse ou la société civile. J'avais décidé que d'ici la fin de l'année, je ne le toucherai pas pour que tout le monde comprenne que la meilleure démarche, c'est le dialogue interne d'abord. Si le dialogue interne ne permet pas d'avancer, en ce moment on peut poser le débat. Mais ce n'est pas en le posant dehors, en mettant la pression, que les choses vont bouger. Je ne marche pas comme cela", a martelé le Président Macky Sall.
"J’ai été surpris en tant que chef de l’Etat, qui ai décidé de la création d’un organe pour renforcer notre gouvernance, de me retrouver d’être accusé de ne pas vouloir développer une politique de transparence. L'Ofnac est un appareil de l'Etat, ses problèmes doivent être posés au sein de l'appareil de l'Etat. S'il y a un problème de budget ou de nomination, je ne dois pas l'apprendre par la presse ou la société civile. J'avais décidé que d'ici la fin de l'année, je ne le toucherai pas pour que tout le monde comprenne que la meilleure démarche, c'est le dialogue interne d'abord. Si le dialogue interne ne permet pas d'avancer, en ce moment on peut poser le débat. Mais ce n'est pas en le posant dehors, en mettant la pression, que les choses vont bouger. Je ne marche pas comme cela", a martelé le Président Macky Sall.