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Macky sommé d'aller juqu'au bout sur la traque des biens mal acquis

Des acteurs de la société civile, qui appartiennent au nouveau mouvement citoyen né hier sous la bannière « Aar suñu moomeel» (défendre ce qui nous appartient) estiment que quelles que soient les pressions et d’où qu’elles puissent venir, ils n’accepteront pas que le processus enclenché dans le cadre de la traque des biens mal acquis soit mis au froid ou interrompu.


Rédigé par leral.net le Mardi 18 Juin 2013 à 08:40 | | 6 commentaire(s)|

Macky sommé d'aller juqu'au bout sur la traque des biens mal acquis
Ces partenaires de Mamadou Mbodj du M23, également coordonnateur de cette nouvelle structure, soutiennent la poursuite de la traque des biens mal acquis qui constitue la raison d’être de leur coalition. Ils invitent ainsi l’Etat à mobiliser tous les moyens de droit et les moyens matériels et humains nécessaires pour aller jusqu’au bout de toutes les procédures déjà enclenchées ou envisagées pour la restitution des biens mal acquis et l’application de sanctions exemplaires aux auteurs de crimes économiques.



1.Posté par Barnoss le 18/06/2013 14:20 | Alerter
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Je suis de tout cœur avec vous..Vous méritez le soutien et l'adhésion de tous les honnètes et patriotes citoyens sénégalais;car cet argent nous appartient à nous tous.

2.Posté par Yenaassez le 18/06/2013 16:05 | Alerter
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OUI MAIS C'EST LENT!
TROP DE VOLEURS SONT TOUJOURS LIBRES.

3.Posté par atypico le 18/06/2013 17:43 | Alerter
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La lenteur est incompréhensible quand on se souvient de l'ensemble des accusations chiffrées et nominatives publiées dans la presse avant et tout de suite après l'élection de Macky. Elle l'est moins si on se souvient que les "nouveaux" gouvernants chargés de faire justice au nom et pour le peuple sont des anciens amis des accusés. Elle devient logique quand on se souvient de la proposition de blanchir les voleurs s'ils restituaient 20 % de leur butin, quand on a vu mimi vendre la mèche en se vantant d'avoir rcupéré un chèque d'un miliard. L'arrestation de Karim et de quelques personnalités de seconde zone ne dot pas faire illusion ...les nouveaux gouvernants font du spectacles et our certains sont mouillés dans trop d'affaires pour faire autre chose. Alors leur demander d'aller jusqu'au bout ça me parait bien vain Non ?

4.Posté par Doudou le 19/06/2013 04:50 | Alerter
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Si le mandat de macky s arrete au traque, putain quelle avenir pour le senegal.
Vous ne parler que de traque et les autres problemes on en parle pas
Arreter de faire croire au populations que les montants des traques existe, ce que des mensonges . Il y a eu des vol oui mais beaucoup beaucoup moin des montant annonce dans un pays pauvre sans aucune resources et sa les senegalais doivent le savoir que le senegal est pauvre et n a rien, on peut pas voler 4000milliards impossible tous les economiste et les banque et les intellectuelles vous le dise. Arreter de mentir au peuple.
Les gens qui ont voule on toujours ete en liberte et ce n est que les innocent, les gens de societe prive qui sont en prison.
Pour karim je peux pas dire s il a vole ou pas, justice doit faire son boulot mais de cequ on voit il est clean jusqu a present et on voit que le gouvernement et surtout la diablesse et ses deux chiens on voulu tous faire pour le mettre en prison bien que aucune preuve jusqu a present.
Surtout de me parler pas de dubai car du n importe qu oi, les 24milliards represente les 10pourcent que l etat avait pris et qu elle vient de revrendre a dubai au meme prix apres 6ans bien que le prix de ses actions on augmenter .

5.Posté par kathior ka le 19/06/2013 08:06 | Alerter
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État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'APR à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

----------------------kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali ----------------
DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane....
...
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
-------------
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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6.Posté par ELIOS le 19/06/2013 10:53 | Alerter
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tout de cœur avec vous, aussi j'aimerai rallier votre mouvement et apporter ma participation

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