Serigne Modou Moustapha Mbacké, ce digne fils de Serigne Touba, qui est venu remettre sur les rails l’Islam et le comportement de certains musulmans, a obtenu une parfaite formation et une connaissance spirituelle de haute facture, en subissant toutes les épreuves aux côtés de son vénéré père en déportation à Khomac, en Mauritanie.
Ce qui lui a permis d’être, en tant que digne fils de son père, à la hauteur des principales missions que son illustre père lui avait confiées. C’est-à-dire, de l’amener à Touba et de promouvoir la construction de la grande mosquée de la sainte ville.
Remplacer Cheikhoul Khadim n’était pas chose aisée, mais le saint homme, fondeur du mouridisme, l’avait déjà préparé pour ça, en l’inculquant toutes les endurances possibles, pour être un homme de Dieu et un guide spirituel de grande dimension, pour y parvenir.
Cheikh Modou Moustapha Mbacké est incontestablement le socle du mouridisme, pour avoir d’abord couvé la famille de Borom Touba pendant son absence et réorganisé la confrérie en une période où ce n’était pas évident ni facile.
Mais, en bon gardien averti, il a su mettre en œuvre tout ce qui était nécessaire pour que la confrérie mouride ne souffre d’aucun obstacle pour son épanouissement et son rayonnement dans son élan de solidarité et de développement à travers le monde entier.
Tribune
Ce qui lui a permis d’être, en tant que digne fils de son père, à la hauteur des principales missions que son illustre père lui avait confiées. C’est-à-dire, de l’amener à Touba et de promouvoir la construction de la grande mosquée de la sainte ville.
Remplacer Cheikhoul Khadim n’était pas chose aisée, mais le saint homme, fondeur du mouridisme, l’avait déjà préparé pour ça, en l’inculquant toutes les endurances possibles, pour être un homme de Dieu et un guide spirituel de grande dimension, pour y parvenir.
Cheikh Modou Moustapha Mbacké est incontestablement le socle du mouridisme, pour avoir d’abord couvé la famille de Borom Touba pendant son absence et réorganisé la confrérie en une période où ce n’était pas évident ni facile.
Mais, en bon gardien averti, il a su mettre en œuvre tout ce qui était nécessaire pour que la confrérie mouride ne souffre d’aucun obstacle pour son épanouissement et son rayonnement dans son élan de solidarité et de développement à travers le monde entier.
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