Leral.net | S'informer en temps réel

Mame Diarra Thiam alias Lissa : "Mon accouchement bidon"

Rédigé par leral.net le Samedi 25 Octobre 2014 à 11:10 | | 3 commentaire(s)|

La troisième saison de "Un Café avec..." est annoncée avec grand renfort de publicité. En attendant la soirée qui va consacrer son lancement, les acteurs se confient, dans les colonnes de L'Observateur, sur les scènes chocs, cocasses ou tout simplement insolites de la série.


Mame Diarra Thiam alias Lissa : "Mon accouchement bidon"
Scène cocasse

"Mon accouchement bidon"

"Tomber enceinte est une de mes phobies. Donc, quand il a fallu jouer à la femme enceinte sur le point d'accoucher (saison 2) , j'ai morflé. J'ai mis beaucoup de temps à accepter l'idée que Lissa allait entrer dans une clinique, monter sur le lit pour accoucher. C'était en plus ridicule puisqu'il y avait Ndèye Diallo, Boubacar et Badiène qui me disaient : "Pousse, pousse !". Il n'y avait rien à faire sortir et je les ai détestés de m'infliger cela. Il a fallu qu'on me passe un savon pour que j'arrive enfin à laisser Lissa prendre le contrôle et accoucher.

Scène choc

"Je me suis ouvert la nuque"

"Je me suis ouvert la nuque une fois. C'était lors de l'épisode où Lissa voulait se suicider (saison 2). Bakhayokho devait l'empêcher de le faire et, en la portant pour la descendre des escaliers, il a trébuché. Je suis tombée avec lui et me suis cognée la tête contre l'encoignure d'une marche. L'équipe a eu vraiment peur, je saignais et j'étais tombée dans les pommes".

Dégoût

"Dire à Boub's je t'aime, oh mon Dieu !"

"Dans la saison 1, il m'était difficile de tourner certaines scènes. Je n'arrivais pas encore à faire la démarcation entre Lissa et Mame Diarra Thiam. Je ne pouvais pas me départir de ma véritable personnalité. Un jour, je devais tourner une scène assez intime et je devais déclarer mon amour à Boubacar Diallo. Le réalisateur m'a demandé de lui dire : "Je t'aime". Oh, mon Dieu ! C'était tellement difficile. Je suis de nature très pudique et je ne suis pas très expressive. Un jour, on a tourné jusqu'à 3 heures du matin parce que je refusais de dire le "Je t'aime". J'ai pleuré mais rien n'y fit. Le réalisateur est resté de marbre. Au bout du compte, j'y suis parvenue. Mais, c'était vraiment très dur. Aujourd'hui, je m'exécute sans problème".