Pour des troubles qui méritaient d’être matés avec la plus grande sévérité qui soit, on a assisté à une mollesse déconcertante de la part des autorités politiques, administratives et policières.
Les forces de sécurité qui se sont d’ailleurs longuement expliqué sur la gestion de ces troubles, ont tenté de se réhabiliter et de se donner le bon rôle après avoir été quasi inexistantes sur le théâtre des casses.
Le Gouvernement a pour sa part exacerbé les frustrations de ses administrés en politisant ce dossier à travers un communiqué dans lequel il est facile de déceler des insinuations politiciennes.
Outre le communiqué du Gouvernement, le ministre de l’Intérieur, ses collègues de la Défense, des Transports, de la Famille, ainsi que les organes politiques du parti au pouvoir, sont montés au créneau pour s’indigner contre des attaques qui pour eux visaient plus l’Etat que les populations qui ont directement payé de la furie sauvage et destructrice des malfaisants thiantacounes.
Or pour ce genre de situation, à défaut d’une réaction musclée et immédiate qui aurait pu limiter les dégâts, rétabli l’ordre public et réhabilité les fondamentaux de la stabilité sociale, la seule réaction ferme et déterminée du Ministre de l’Intérieur aurait suffi.
Mbaye Ndiaye aurait du faire une sortie relayée par tous les supports médiatiques nationaux et, s’il vous plait, traduite dans toutes les langues parlées dans notre pays. Dans laquelle sortie, il menacerait de pourchasser les vandales, de les traquer jusque dans leurs derniers retranchements, de les attraper et de les livrer à la justice afin que des sanctions exemplaires leur soient infligées.
Mais malheureusement on a assisté à une réaction plus politique que sécuritaire. Et, cet état de fait inquiète sérieusement tout en suscitant moult interrogations chez les citoyens qui ne demandent ni plus ni moins qu’à vivre en paix et en sécurité loin des embardées fanatiques et partisanes de talibés thiantacounes et apéristes.
Le pouvoir en place jouerait-il avec les fondamentaux de la République et de l’Etat de droit? La politique politicienne a-t-elle sa place dans le champ régalien de l’application de l’application de la loi? Où en est-on réellement avec les ruptures tant annoncées?
senego.com
Les forces de sécurité qui se sont d’ailleurs longuement expliqué sur la gestion de ces troubles, ont tenté de se réhabiliter et de se donner le bon rôle après avoir été quasi inexistantes sur le théâtre des casses.
Le Gouvernement a pour sa part exacerbé les frustrations de ses administrés en politisant ce dossier à travers un communiqué dans lequel il est facile de déceler des insinuations politiciennes.
Outre le communiqué du Gouvernement, le ministre de l’Intérieur, ses collègues de la Défense, des Transports, de la Famille, ainsi que les organes politiques du parti au pouvoir, sont montés au créneau pour s’indigner contre des attaques qui pour eux visaient plus l’Etat que les populations qui ont directement payé de la furie sauvage et destructrice des malfaisants thiantacounes.
Or pour ce genre de situation, à défaut d’une réaction musclée et immédiate qui aurait pu limiter les dégâts, rétabli l’ordre public et réhabilité les fondamentaux de la stabilité sociale, la seule réaction ferme et déterminée du Ministre de l’Intérieur aurait suffi.
Mbaye Ndiaye aurait du faire une sortie relayée par tous les supports médiatiques nationaux et, s’il vous plait, traduite dans toutes les langues parlées dans notre pays. Dans laquelle sortie, il menacerait de pourchasser les vandales, de les traquer jusque dans leurs derniers retranchements, de les attraper et de les livrer à la justice afin que des sanctions exemplaires leur soient infligées.
Mais malheureusement on a assisté à une réaction plus politique que sécuritaire. Et, cet état de fait inquiète sérieusement tout en suscitant moult interrogations chez les citoyens qui ne demandent ni plus ni moins qu’à vivre en paix et en sécurité loin des embardées fanatiques et partisanes de talibés thiantacounes et apéristes.
Le pouvoir en place jouerait-il avec les fondamentaux de la République et de l’Etat de droit? La politique politicienne a-t-elle sa place dans le champ régalien de l’application de l’application de la loi? Où en est-on réellement avec les ruptures tant annoncées?
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