Au Sénégal, le montant exact de la dot fait débat. C’est parce qu’elle varie d’une mosquée à une autre. Les éclairages de Taïb Socé et d’Iran Ndao.
Pour épouser sa « promise », un homme est assujetti à ce qu’on appelle « dot ». Un devoir imparable qui doit être entièrement versé à la future mariée. Sauf qu’au Sénégal, le montant de cette dot est fixé selon les endroits et au gré des humeurs de la belle famille et même de la mosquée qui accueille la cérémonie religieuse. Ce que reconnait le prédicateur Iran Ndao dans les colonnes de l’Observateur.
Selon le prêcheur de SENTV, il peut arriver que les responsables de la mosquée défalquent une partie de la dot, mais précise-t-il, ce n’est pas le plus important. Pour lui, la mariée doit être la priorité et ce qui lui doit être remis est sans appel. Et à Tivaouane, cela tournerait autour de 1400 francs. C’est la somme fixée par Seydi El Hadji Malick Sy. Aussi il ajoute qu’il n’y a pas de sommes limites pour la dot.
Quant à Taib Socé de la RFM, lui est catégorique : « Seule la dot est une exigence ». Selon l’un des plus célèbres islamologues du pays, ce sont les mosquées dans lesquelles sont célébrés les mariages qui rendent la dot un peu plus élevée qu’elle ne devait l’être. Mais c’est pour la bonne cause. Car cela permet de participer à l’entretien des maisons de Dieu.
buzz.sn
Pour épouser sa « promise », un homme est assujetti à ce qu’on appelle « dot ». Un devoir imparable qui doit être entièrement versé à la future mariée. Sauf qu’au Sénégal, le montant de cette dot est fixé selon les endroits et au gré des humeurs de la belle famille et même de la mosquée qui accueille la cérémonie religieuse. Ce que reconnait le prédicateur Iran Ndao dans les colonnes de l’Observateur.
Selon le prêcheur de SENTV, il peut arriver que les responsables de la mosquée défalquent une partie de la dot, mais précise-t-il, ce n’est pas le plus important. Pour lui, la mariée doit être la priorité et ce qui lui doit être remis est sans appel. Et à Tivaouane, cela tournerait autour de 1400 francs. C’est la somme fixée par Seydi El Hadji Malick Sy. Aussi il ajoute qu’il n’y a pas de sommes limites pour la dot.
Quant à Taib Socé de la RFM, lui est catégorique : « Seule la dot est une exigence ». Selon l’un des plus célèbres islamologues du pays, ce sont les mosquées dans lesquelles sont célébrés les mariages qui rendent la dot un peu plus élevée qu’elle ne devait l’être. Mais c’est pour la bonne cause. Car cela permet de participer à l’entretien des maisons de Dieu.
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