«Immédiatement après avoir été informé du décès de Oumar Hamadi Diop au Centre hospitalier national, après son transfert du Commissariat central de Sebkha, le parquet a ouvert une enquête sur l’incident», a déclaré le procureur de la République près le tribunal de la wilaya de Nouakchott- Ouest. Ahmed Ould Abdallahi Ould El Moustapha ajoute que dans le cadre de cette enquête, le corps du défunt a été l’objet d’autopsie au Service de la médecine légale du Centre hospitalier national, en présence d’un représentant et d’un avocat de la famille.
En outre, explique-t-il, le médecin légiste a décidé de «compléter l’autopsie par des analyses en laboratoire d’échantillons de contenu stomacal, de sang et d’urine, et a commenté son rapport final sur la réalisation de ces analyses, qui ont été décidées dans un laboratoire étranger et des travaux sont en cours pour les compléter dès que possible, et en pleine coordination avec la famille et son avocat».
La famille a été informée, en présence de son avocat et d’un médecin qu’elle a mandaté, des données préliminaires révélées par l’autopsie et a fait quelques observations à leur sujet. Le chef du parquet a promis que «toutes les mesures d’enquête nécessaires à la révélation de la vérité, seront prises».
Le communiqué souligne que les policiers qui se trouvaient au Commissariat, le soir du décès, ont été entendus et que les personnes qui étaient avec le défunt sur la voie publique lors de l’intervention de la police, feront également l’objet de poursuites.
«Les résultats du rapport final seront annoncés dès que tous ses éléments seront réunis, et parce que ce rapport est déterminant dans l’affaire, le Parquet prendra les mesures que dicte la loi», a conclu le procureur.
Oumar Diop, natif de MBagne, est mort alors qu’il a été appréhendé et détenu dans un commissariat de police de Sebkha. «Le corps du défunt, couvert de blessures, indique clairement qu’il est mort des suites des coups et sévices qui lui ont été infligés», informait, mardi, la Coalition vivre ensemble (Cve), à travers un communiqué signé par le président de la Commission exécutive, Bä Mamadou Alassane.
Source Ami.mr (Bes Bi)
En outre, explique-t-il, le médecin légiste a décidé de «compléter l’autopsie par des analyses en laboratoire d’échantillons de contenu stomacal, de sang et d’urine, et a commenté son rapport final sur la réalisation de ces analyses, qui ont été décidées dans un laboratoire étranger et des travaux sont en cours pour les compléter dès que possible, et en pleine coordination avec la famille et son avocat».
La famille a été informée, en présence de son avocat et d’un médecin qu’elle a mandaté, des données préliminaires révélées par l’autopsie et a fait quelques observations à leur sujet. Le chef du parquet a promis que «toutes les mesures d’enquête nécessaires à la révélation de la vérité, seront prises».
Le communiqué souligne que les policiers qui se trouvaient au Commissariat, le soir du décès, ont été entendus et que les personnes qui étaient avec le défunt sur la voie publique lors de l’intervention de la police, feront également l’objet de poursuites.
«Les résultats du rapport final seront annoncés dès que tous ses éléments seront réunis, et parce que ce rapport est déterminant dans l’affaire, le Parquet prendra les mesures que dicte la loi», a conclu le procureur.
Oumar Diop, natif de MBagne, est mort alors qu’il a été appréhendé et détenu dans un commissariat de police de Sebkha. «Le corps du défunt, couvert de blessures, indique clairement qu’il est mort des suites des coups et sévices qui lui ont été infligés», informait, mardi, la Coalition vivre ensemble (Cve), à travers un communiqué signé par le président de la Commission exécutive, Bä Mamadou Alassane.
Source Ami.mr (Bes Bi)
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