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Me Mbaye Dieng et Léna Sène: Un couple glamour

Rédigé par leral.net le Dimanche 9 Février 2014 à 14:48 | | 0 commentaire(s)|

Me Mbaye Dieng et Léna Sène: Un couple glamour

Me Mbaye DIENG, le gentleman du Barreau de Dakar, a convolé, dans la plus grande discrétion, avec la ravissante Léna Sène, fille de l’homme politique Ibrahima Sène du PIT,  au mois d’octobre dernier.
Le célèbre avocat, toujours élégant et bien dans sa mise, a « supplanté », de manière discrète mais indiscutable, la « meute » de prétendants constituée d’éminentes personnalités politiques, religieuses et d’hommes d’affaires prospères, qui tournaient autour de celle qui était considérée comme la « fiancée » de la République.
 Les nouveaux mariés qui se sont rencontrés, il y a deux ans, ont choisi de garder discret leur mariage,  en le célébrant en la seule présence des parents , frères et sœurs.
Qui est Me Mbaye DIENG ?
Me Mbaye DIENG est un ténor du Barreau qui a eu à plaider dans de grands procès au Sénégal et ailleurs dès ses débuts.
Inscrit au Barreau en 1989, il a effectué le stage réglementaire de trois ans à Dakar et d’autres stages professionnels à l’étranger .
Ce stage était entrecoupé d’un autre en 1990 au prestigieux cabinet français de GIDE LOYRETTE et NOUEL ( 1er cabinet français et 8e européen ) á l’initiative du Bâtonnier de Paris.
 
Sorti Premier Secrétaire de la Conférence du Stage et s’impliquant dans la défense des libertés, il a aussitôt bénéficié en 1992 d’une bourse de International Human Rights Internship Program, organisation basée á Washington, pour effectuer un stage en cabinets d’avocats á Atlanta, aux Etats Unis.
Dans le but de s’inscrire au Barreau de la Louisiane, il a passé et réussi á la  Nouvelle  Orléans le Multistate Professional Responsibility Examination (MPRE), examen organisé au plan national par le National Conference of Bar Examiners .
 Il a été, dans le même temps et sur le plan international, admis á plusieurs organisations professionnelles d’avocat très fermées  ( American Bar Association  et International Bar Association)  et a connu d’autres succès internationaux  pour avoir été Lauréat du Quatrième Concours International de Plaidoirie du Mémorial de CAEN (  France ) thème discours “Violation des droits dits de solidarité en Afrique  ” ,  en avril 1993.
Dans la même période il a été élevé au rang de citoyen d’honneur de la ville de Lafayette en Louisiane .
Il a été constitué en 2001 par Le Président Mamadou DIA (à côté de Me Babacar NIANG et Me Guédel NDIAYE ), lorsque le Président WADE , nouvellement élu , avait décidé de rouvrir  le procès de 1962 .
Il a été plaider avec ses collègues devant la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation , mais l'affaire a été renvoyée au mois de Janvier 2001 ( à la demande du Pdt DIA pour cause de maladie de SENGHOR ) . A la date de renvoi, le Pdt WADE a décidé de faire radier l'affaire par lettre du Garde des Sceaux Basile SENGHOR adressée à la Cour, laquelle a suivi le Ministre .
LU POUR VOUS DANS L’OSERVATEUR DU SAMEDI 29 JANVIER 2005
 
 Maître Mbaye DIENG, AVOCAT :
 De la politique au temple de Thémis

C’est un an après l’indépendance, plus précisément le 26 janvier 1961, que Mbaye Dieng voit le jour à Dakar. Et c’est dans la capitale sénégalaise qu’il effectue ses études primaires et secondaires. En dépit de quelques frasques de jeunesse, il traverse sans difficultés majeures, cette étape cruciale mais périlleuse de la vie de tout homme. Ses conditions de vie dans l’univers familial plus ou moins favorables, le prédisposent à une brillante carrière. Quand disparaît son père, sa mère et sa grand-mère se sacrifient pour sa réussite. Le mythique lycée Van Vollenhoven (actuel Lamine Guèye) et l’université Cheikh Anta Diop, lui permettront d’avoir un riche cursus et une solide formation.
Militantisme
À l’université de Dakar où il était inscrit à la faculté des Sciences juridiques et politiques en 1981, Mbaye Dieng a connu le militantisme et le syndicalisme. Les luttes de positionnement qui faisaient rage à l’époque ne le laissant pas indifférent, il s’engage dans les mouvements gauchistes regroupés dans le cadre de l’Union nationale et patriotique des étudiants sénégalais (Unapes) pour combattre le pouvoir.
Dans le bouillonnement culturel et intellectuel de ce temple du savoir, le futur avocat allie le syndicalisme étudiant et le militantisme politique pour combattre les "méthodes rétrogrades du pouvoir en place à l’époque". Une expérience que Mbaye Dieng salue et qu’il mettra plus tard à profit dans son métier d’avocat. Mais le virus de la politique a piqué Mbaye Dieng depuis le lycée. Dans le contexte de l’époque, marqué par les contestations d’inspiration marxiste-léniniste, il jette simplement son dévolu sur le Rassemblement national démocratique (Rnd) du professeur Cheikh Anta Diop. À ses yeux, ce contradicteur de Senghor à un moment où rares étaient ceux qui osaient faire face au Président-poète, incarnait ses idéaux et ses aspirations pour une société démocratique et un monde plus juste.
 Mais son euphorie n’aura duré que le temps d’une rose. Au lendemain du décès de l’illustre égyptologue, Mbaye Dieng démissionne du Rnd, "dégoûté par le fractionnement du parti en quatre morceaux". Il restera en "hibernation" jusqu’en 1999. Puis répondant à l’appel du 16 juin de cette même année lancé par Moustapha Niasse, il devient membre fondateur de l’Afp. Parti dont il sera membre du bureau politique, jusqu’en 2001. Il devait ensuite démissionner en même temps que le professeur Fallou Ndiaye et d’autres cadres, au lendemain des législatives de cette année. Parlant des causes qui l’ont poussé à rendre le tablier, Me Dieng souligne "un désaccord avec certains secteurs de ce parti relativement à la gestion de l’appareil". Mais si aujourd’hui il est un peu en retrait tout en gardant de bons rapports avec Niasse, il manifeste son intention de revenir un jour à la chose politique. L’homme a aussi milité dans des cadres non partisans comme l’organisation Panaf en même temps que Pierre Sané ancien président de Amnesty International et Abdoulaye Wade l’actuel président de la République avec qui il dit entretenir d’excellentes relations. Jugeant l’action du locataire du palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor, il dit que Me Wade ressemble à un homme pressé qui veut tout faire à la fois. Mais malgré cela, il pense que le successeur de Diouf est un patriote et un africaniste convaincu.
Le chemin du barreau
De toutes les Facultés que compte l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, celle des Sciences juridiques et politiques et celle des Lettres et Sciences humaines sont les plus tumultueuses. Elles ont produit et continuent de produire d’ardents contestataires. Mbaye Dieng le reconnaît et l’explique par le caractère "sensible" des disciplines comme le droit, la philosophie, l’histoire… qu’on y enseigne. À la "fac", pour parler comme les étudiants, le futur avocat a fait des études couronnées par une maîtrise en droit des affaires, en juillet 1987. Mais à ses débuts, Mbaye Dieng ne voulait pas être avocat. Car malgré ses études en droit, il voulait faire carrière dans le domaine des banques et des assurances. Un rêve qui n’a pu se réaliser pour cause de retard du courrier de son inscription pour l’université de Lyon où il devait poursuivre ses études. "C’est ainsi que j’ai été amené à faire l’examen du barreau", souligne Me Dieng. Auparavant, il a été admis par Me Babacar Niang dans son étude, pour y effectuer un "pré-stage". Cette fréquentation de l’ancien leader du Parti pour la libération du peuple (Plp) aura comme conséquence "la précision des idées" dans la tête du jeune stagiaire. Ce dernier qui n’a rien oublié de cette période, rappelle que Me Abdoulaye Wade  venait d’être arrêté au lendemain des élections de 1988 qui sont les plus contestées que le Sénégal ait connues jusqu’ici. "Je me souviens encore du système d’état d’urgence, du couvre-feu et des piétinements des libertés fondamentales à cette période". Me Dieng décide alors de s’engager résolument pour défendre les opprimés, estimant que les objectifs de son combat politique pouvaient être atteints avec la robe. "Et c’est comme cela que je suis devenu avocat", plaide-t-il. Mais outre Babacar Niang, Doudou Thiam figure parmi ceux qui l’ont le plus façonné et qui restent ses modèles dans sa profession. Un métier qui selon lui, doit maintenant s’adapter au contexte de la modernité. "L’avocat ne doit plus se borner à défendre la veuve ou l’orphelin", argue-t-il.
Un univers conflictuel
Malgré son aspect à la fois passionnant et mythique, le temple de Thémis est un milieu où les luttes de positionnement, les querelles de clochers et les incessantes bisbilles entre avocats et magistrats font toujours rage. Une situation que Me Mbaye Dieng juge normale, vu l’opposition qu’il y a entre les objectifs de l’avocat et ceux du magistrat. Objectifs qu’il résume en ces termes : "Le premier est l’homme d’une cause alors que le deuxième n’est l’homme d’aucune cause". Explicitant son propos, Me Dieng souligne que l’avocat défend la cause de son client tandis que le magistrat est là pour tout le monde. C’est également la raison pour laquelle l’avocat est toujours en contradiction avec le procureur qui défend toute la société.
Les affaires Korban et Me Sèye
De toutes les plaidoiries qu’il a eu à faire, ce sont celles qui concernent le procès de Adel Korban et celui des meurtriers de l’ancien vice-président du Conseil constitutionnel du Sénégal qui sont restées les plus célèbres. En 1994, Me Mbaye Dieng a défendu l’homme d’affaires libano-sénégalais Adel Korban. Ce dernier était poursuivi par la douane sénégalaise qui lui réclamait la somme de 20 milliards de francs Cfa. La même année, Me Mbaye Dieng a eu à défendre Amadou Clédor Sène et sa bande. Se rappelant ce fameux procès, il dit l’avoir vécu avec beaucoup de tristesse. A l’époque, il était avocat collaborateur dans un cabinet de la place. Sa plaidoirie a d’ailleurs été relatée par Me Madické Niang dans son livre "Pour que triomphe la vérité", préfacé par l’avocat français Jaques Vergès. Devant la Cour d’assises, le jeune avocat Mbaye Dieng s’évertuait, aux côtés d’autres avocats, à démontrer l’innocence des prévenus. Et aujourd’hui encore,  Me Mbaye Dieng réaffirme que les "coupables" n’ont fait que simuler et soutient mordicus que le dossier n’a pas pu clairement réfuter cette thèse. "Autrement dit, il n’a pas été rapporté, de façon indubitable, une cause de mort certaine", lance-t-il. Et Me Mbaye Dieng de dire clairement que "l’autopsie" n’a pas été bien faite. En d’autres termes, le docteur Brisseau de l’hôpital Principal qui a eu à se pencher sur la dépouille de Me Babacar Sèye pour en extraire la balle fatale, n’est pas allé jusqu’au terme de son travail. A en croire Me Dieng, le docteur Brisseau lui a confié avec d’autres avocats, qu’il lui était impossible de procéder à des prélèvements de sang ou de restes alimentaires de la victime pour mieux déterminer les causes exactes de son décès. "Il n’a fait que des constatations", souligne-t-il. Ce qui,  à ses yeux, conforte la thèse de la simulation défendue à l’époque par ses clients… Aujourd’hui, en pleine polémique sur la grâce accordée aux "coupables" et l’amnistie des faits, Me Mbaye Dieng pense qu’il n’y a rien de nouveau sur ce dossier. Quant à la loi Ezzan, il la trouve simplement inopportune.
 
Serigne Saliou Samb
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LENA SENE
UN ESPRIT BRILLANT
L’apparition de Léna Sène, le 29  septembre 2011, à côté d’Idrissa Seck avait créé un effet prisme sans précédant au sein du microcosme politique sénégalais. Au-delà de son charme, de sa beauté et de son élégance qui cristallisent l’admiration de beaucoup de sénégalais , sa réputation d’esprit brillant l’avait devancée et faisait d’elle la principale attraction de la campagne pour l’élection présidentielle de février 2012.
 
 
LU POUR VOUS DANS SENEWEB
Léna  Séne: ‘Le choix du silence et de l’action”.
Par Ablaye Diop, NY, USA.
Elle a pris garde de ne point perdre son âme, malgré son brillant parcours académique suivi de nombreux succès professionnels dans le Monde Américain de la Finance.  En lui faisant l’honneur de la retenir parmi les “Femmes les plus Influentes de Corporate  America” à  l’issue d’un processus rigoureux de sélection de candidates évoluant dans différents métiers et filières, le Magazine Savoy reconnait et récompense les talents d’une professionnelle dont l’influence dans les milieux d’affaires et l’action dans sa communauté ne cessent de croitre.
Cet hommage, bien mérité, d’un comité  de sélection  composé  de dirigeants de la communauté noire, de représentants des milieux académiques et du monde des affaires, couronne le bilan exemplaire de réalisations de Léna  Séne au sein de sa firme financière et une intensification de son action dans les “sphères d’influence” pour avancer les causes de sa communauté, de son pays et de l’Afrique.
Cette consécration, pas fortuite, résulte d’un talent fort fait de brillance et d’aisance que Léna Séne a toujours démontré, de Lehman Brothers, à  JP Morgan, de La Maison Blanche, à Deer Isle capital où  elle officie aujourd’hui au titre de Directrice Générale, gérant des fonds d’investissement, conseillant des fortunes Américaines et une multitude de diplomates des Nations Unies chargés  de questions économiques. Son patriotisme économique et ses ambitions pour le Sénégal et l’Afrique ne peuvent se mesurer qu’à  la hauteur de son engagement à  promouvoir leurs économies.
En 2011, elle participa successivement à  l’élaboration du rapport Dalberg sur “l’impact des investissements en Afrique de l’Ouest” et à  l’étude du département d’Etat Américain sur “l’investissement orienté  vers la mobilisation du capital privé  générant des bénéfices financiers et sociaux dans les pays émergents”. Et aujourd’hui, elle se bat pour orienter une partie importante des investissements de sa firme vers l’Afrique. En tant que Conseillère Spéciale en charge des relations Milieu des Affaires/Etats de l’Alliance Economique Internationale (International Economic Alliance-IEA), une organisation à  but non lucratif chargée  de promouvoir les investissements étrangers et le commerce global, co-dirigé par Mr. Paul Volker ancien Président de la Banque Centrale Américaine et Mr. Thomas Pickering ancien Ambassadeur des Etats Unis, elle assure la coordination des relations entre les milieux d’affaires Américains et les Etats.
Son engagement dans les causes de notre communauté ici aux Etats Unis, illustre sa vision d’une solidarité conçue comme un principe d’action et d’action morale sous tendue par les idées de justice et de fraternité et l’impact de son implication dans les efforts quotidiens que produisent le Sénégalais à  New York pour bâtir une communauté forte et solide a été apprécié de tous. En sont pour preuves, ses fortes contributions dans le soutien aux sinistres des récentes inondations au Senegal et pour le projet d’acquisition d’un immeuble à New York par l’Association des Senegalais d’Amerique. Au Sénégal, c’est  le Lycée Seydou Nourou Tall, ou elle a fait ses études secondaires, qui a bénéficié de son apport a travers l’octroi d’un important matériel informatique. Les mois et années à  venir pourront édifier  davantage sur son apport dans ce domaine vu son autorité dans certaines sphères d’influence.
Au delà du talent, cette nomination de Léna  Séne parmi les “Femmes les plus Influentes de Corporate America” consacre un ensemble de qualités et de traits de caractères si essentiels dans la production de performances dans un environnement compétitif caractérisé par des exigences de résultats. A n’en point douter, Lena Séne a su, dans sa trajectoire professionnelle, déployer un certain nombre de capacités en combinant un leadership de performance et un leadership d’influence.
Sa capacité a se concentrer sur des objectifs, à  observer et questionner, à  s’inscrire dans le temps pour donner du sens à  son action et agir avec efficacité,  lui a permis de pouvoir fédérer autour d’elle et autour des projets qu’elle conduit, des compétences en les mobilisant et les valorisant.
Sa capacité d’exigence, du sens du détail et de la précision combinée à sa capacité de travail s’appuyant sur une résistance à  l’effort et une véritable ténacité dans l’action constituent des attitudes qui lui ont permis une ouverture pour construire un réseau relationnel solide.
Et c’est dans le silence que ses actions naissent et prennent forme. Elle figure aujourd’hui parmi les valeurs sures du Sénégal aux Etats Unis. Sa nomination au nombre des” Femmes les plus Influentes dans ce monde Américain de l’Entreprise” constitue une consécration et un hommage à  l’ensemble de la communauté Sénégalaise et à  ses cadres évoluant dans les plus grandes entreprises et institutions Américaines.
Toutes nos félicitations lui sont adressées à  l’occasion de cet heureux événement.
 
QUI EST LENA SENE ?
Avant de créer DCA,  Lena Sene était Directrice Generale  à Deer Isle Capital LLC à New York. Avant cela, Lena a travaillé à Impact Capital Partners, une firme internationale de conseils pour les investissements alternatifs, orientée vers les marchés émergents et « naissants ». A ce titre, elle a conseillé l’USAID dans le cadre d’un placement, dans le domaine du changement climatique, d’un fonds de capital-investissement de $100 millions de dollars, destiné aux petites et moyennes entreprises (PME) des marchés « naissants ». Toujours à Impact Capital, Lena a servi comme Conseillère spéciale en charge des questions économiques de l’Ambassadeur du Malawi aux Nations Unies.
Auparavant, Lena a travaillé à la Division de gestion des placements de la Banque d’affaires Lehman Brothers où elle avait la responsabilité de conseiller des clients institutionnels et des particuliers fortunés  sur une gamme complète de stratégies d'investissement dans le secteur des actifs traditionnels et alternatifs. Avant Lehman, Lena était à la Banque d’affaires JP Morgan où elle a travaillé au sein d'une équipe de six banquiers conseillant plus de 200 familles fortunées avec un actif total sous gestion de plus de $ 4,5 milliards de dollars. A JP Morgan, elle a été sélectionnée comme l'unique récipiendaire du Prix annuel de JP Morgan Rising Star pour le Mérite féminin Bond Club en 2003.

 En 2006, Lena a été nommée par le Président des États-Unis d’Amérique (USA)  à la « White House Fellowship », un programme fédéral non partisan de leadership, vieux de 47 années, avec 13 autres Américains rigoureusement sélectionnés sur le plan national. Elle a obtenu l’habilitation du FBI de haut secret défense. Lena a également été sélectionnée parmi les 120 leaders académiques mondiaux étant passés à l’ « Academy of Achievement », promotion 2007.
Comme auteur, Lena a, à son actif, de nombreuses publications sur l'investissement des PME en Afrique. Elle a aussi animé des conférences sur l'investissement en Afrique et a notamment été citée dans le dernier Rapport Dalberg d’Avril 2011 intitulé ​​«Influencer l’investissement en Afrique de l'Ouest". De plus, elle contribue, régulièrement, à l’étude du Département d’Etat américain  sur l’impact de l’investissement orienté vers la mobilisation du capital privé générant des bénéfices financiers et sociaux dans les pays émergents.
En 2010, Lena a été nommée Conseiller principal en charge des relations entre les milieux des affaires et l’Etat au sein de l’Alliance Economique Internationale (IEA), une organisation à but non lucratif, fondée à Harvard avec pour finalité la promotion de l’investissement international et le partenariat public-privé, à travers un Symposium annuel organisé, en marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies, entre les Chefs d’Etat et les PDG des 500 plus grandes entreprises du monde suivant le classement de Fortune 500.
 Lena est née aux États-Unis et a grandi au Sénégal, en Russie et en Ukraine. Elle parle couramment l’Anglais, le Français, le Russe et le Wolof. Elle siège, à la fois, aux Conseils d'Administration du Bates College et de Network 20/20. Elle a été aussi élue membre du Conseil d’Administration de l'Association des Nations Unies de New York. Elle est actuellement membre du Club Economique de New York.

Lena est titulaire d’un Bachelor en économie de Bates College, d’un Master en Administration des Affaires (MBA) de Harvard Business School et d’un Master en Administration Publique (MPA) de Harvard Kennedy School of Government,  où elle a été sélectionnée «Mort Zuckerman Fellow».