La justice vide les dossiers les plus médiatiques. Après l’affaire Bassirou Faye, qui a été jugée, le dossier Ibrahima Samb sera au menu de la 2ème session de la Chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Diourbel prévue du 25 au 29 juillet prochain à Mbacké. Le Président du Tribunal de grande instance de Diourbel a envoyé une correspondance à son homologue du Tribunal d’instance de Mbacké pour l’avertir de la tenue de la session dans sa juridiction qui va vider 11 dossiers pour des affaires de meurtre et de trafic de drogue.
En tout cas, le procès des policiers Thiendella Ndiaye, Waly Almamy Touré, Mame Kor Ndong et Ousmane Ndao, poursuivis pour meurtre et acte de barbarie, va attirer l’attention des défenseurs des droits de l’Homme. Jeune apprenti-chauffeur, Ibrahima Samb a été retrouvé mort dans la malle arrière du véhicule du policier Waly Almamy Touré, à Mbacké, dans la nuit du 17 au 18 novembre 2013, lors d’une opération de sécurisation des personnes.
Pourtant, le dossier a connu plusieurs rebondissements. Le 30 mars dernier, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Thiès avait affirmé l’ordonnance du juge d’instruction du Tribunal de Grande instance de Diourbel qui avait disqualifié les faits de meurtre initialement reprochés aux quatre policiers en homicide involontaire. Mais, le maître des poursuites avait fait appel de cette décision. Il estimait que les inculpés devaient être jugés devant une Chambre criminelle. La Chambre d’accusation l’a suivi en maintenant le meurtre initialement reproché aux inculpés. Il les a ensuite renvoyés en jugement devant un Tribunal correctionnel.
Le Quotidien
En tout cas, le procès des policiers Thiendella Ndiaye, Waly Almamy Touré, Mame Kor Ndong et Ousmane Ndao, poursuivis pour meurtre et acte de barbarie, va attirer l’attention des défenseurs des droits de l’Homme. Jeune apprenti-chauffeur, Ibrahima Samb a été retrouvé mort dans la malle arrière du véhicule du policier Waly Almamy Touré, à Mbacké, dans la nuit du 17 au 18 novembre 2013, lors d’une opération de sécurisation des personnes.
Pourtant, le dossier a connu plusieurs rebondissements. Le 30 mars dernier, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Thiès avait affirmé l’ordonnance du juge d’instruction du Tribunal de Grande instance de Diourbel qui avait disqualifié les faits de meurtre initialement reprochés aux quatre policiers en homicide involontaire. Mais, le maître des poursuites avait fait appel de cette décision. Il estimait que les inculpés devaient être jugés devant une Chambre criminelle. La Chambre d’accusation l’a suivi en maintenant le meurtre initialement reproché aux inculpés. Il les a ensuite renvoyés en jugement devant un Tribunal correctionnel.
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