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Michael Jack­son : le train de vie de ses enfants se chiffre en millions

Rédigé par leral.net le Mardi 18 Août 2015 à 11:17 | | 0 commentaire(s)|

De son vivant, Michael Jack­son n’a jamais laissé ses enfants dans la misère, bien au contraire. Élu mort le plus riche de l’an­née, il a habi­tué sa progé­ni­ture au luxe et à l’argent qui coule à flot, comme le révèlent les avocats du défunt chan­teur. Selon les chiffres offi­ciels datant d’il y a deux ans, les trois enfants ont dépensé près de 4 millions d’eu­ros en une année.


Prince, 18 ans, Paris, 16 ans, Bigi, 13 ans, mènent une vie bien confor­table pour leur âgeÉlevés par leur grand-mère Kathe­rine âgée de 85 ans,  ils ne manquent de rien et vivent dans une extra­or­di­naire opulence. Il faut dire qu’à sa mort en 2009, le chan­teur avait laissé derrière lui 240 millions d’eu­ros. Les docu­ments offi­ciels dépo­sés par les avocats de leur père démontrent que les enfants se servent goulû­ment de la fortune de leur défunt père. Mais sur les quatre millions d’eu­ros dépen­sés il y a deux ans, l’édu­ca­tion des jeunes enfants avale une grosse partie de la somme. Les deux aînés étaient scola­ri­sés à la Buck­ley High School, dont les frais d’ins­crip­tion s'élèvent à presque 70 000 euros. Si Prince a quitté l’école  suite à l’ob­ten­tion de son diplôme, le petit dernier de 13 ans, Bigi,  est lui dans une école pour jeunes surdoués qui coûte­rait envi­ron 27 000 euros à la famille chaque année.

D’autres dépenses appa­raissent beau­coup plus extra­va­gantes. Logés dans une maison cali­for­nienne qu’ils louent pour la maudite somme de 400 000 euros l’an­née, les trois enfants sont entou­rés d’un person­nel qui leur coûte­rait autant que leur loca­tion, selon les infor­ma­tions du site Fema­le­first.  Côté loisirs, les trois enfants stars ne se privent pas, entre les les voyages luxueux à l’autre bout du monde et les fêtes d’an­ni­ver­saire hors de prix.  A 33 ans, les enfants devraient rece­voir la moitié de leur héri­tage puis le reste sept ans plus tard … s’il en reste encore!
gala.fr