« Cette école sénégalaise a eu à former des médecins, des infirmiers, des sages-femmes, des assistants-infirmiers de qualité, du personnel de maintenance ; on a vraiment le nécessaire. Il faut en recruter encore, et les mettre là où il faut, notamment dans les zones les plus déshéritées. Il faut que le plateau technique puisse permette aux populations, même dans les zones éloignées, de pouvoir avoir accès à des soins de santé », a-t-elle exhorté.
Cet appel n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Son successeur, Abdoulaye Diouf Sarr, a promet d’œuvrer dans le sens de la recommandation, en s’appuyant sur les toutes les compétences, les hommes et les femmes « dévoués, loyaux ». Il a aussi assuré qu’il fera du dialogue et de la concertation avec tous les acteurs de la santé, « le socle de son action ».
C’est la santé qui s’en portera mieux, au grand bénéfice des populations sénégalaises qui n’en demandent pas moins.
La rédaction de Leral.net
Cet appel n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Son successeur, Abdoulaye Diouf Sarr, a promet d’œuvrer dans le sens de la recommandation, en s’appuyant sur les toutes les compétences, les hommes et les femmes « dévoués, loyaux ». Il a aussi assuré qu’il fera du dialogue et de la concertation avec tous les acteurs de la santé, « le socle de son action ».
C’est la santé qui s’en portera mieux, au grand bénéfice des populations sénégalaises qui n’en demandent pas moins.
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