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Mme Habré répond à Sidiki Kaba : "Vous inaugurez votre fonction par l’injure"

Mme Fatimé Habré, l’épouse de l’ancien président Tchadien, Hissène Habré s'attaque à Sidiki Kaba. Dans une contribution parue dans la presse de ce jour, elle accuse le Garde des Sceaux d’avoir été nommé pour liquider son mari.


Rédigé par leral.net le Mercredi 25 Septembre 2013 à 14:00 | | 8 commentaire(s)|

Mme Habré répond à Sidiki Kaba : "Vous inaugurez votre fonction par l’injure"
"Nommé ministre de la Justice, votre casting s’est uniquement fait sur l’affaire Habré, autant dire que le contrat sur la liquidation du Président HH est la priorité du gouvernement de Macky Sall. C’est le n°1 sur la feuille de route de votre ministère et sur l’agenda politique du président de la République du Sénégal ; exécuté avant celui relatif à la réduction de la durée du mandat présidentiel", écrit la dame. S’exprimant sur l’affaire Habré quelques jours après sa prise de fonctions, Me Sidiki Kaba a déclaré que "le Sénégal a une occasion historique de rendre une justice exemplaire ce qui sera un procès historique parce qu’il démontrera sans doute que l’Afrique a sa propre capacité de juger ce bourreau sur son propre continent et non dans le froid de Belgique". Des déclarations qui on révulsées Mme Habré selon qui Me Kaba a inauguré "sa prise de fonction par une l’injure ».

MLD


1.Posté par CHEIKH le 25/09/2013 12:50 | Alerter
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MAIS MADAME VOTRE MARI EST UN BOURREAU. IL A MASSACRÉ DES PARENTS D´AUTRUI. QUAND DITES VOUS?

2.Posté par jock le 25/09/2013 12:59 | Alerter
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Dira-t-on jamais d'un filou qui prend la livrée d'une maison pour faire son coup plus commodément, qu'il rend hommage au maître de la maison qu'il vole ? Non : couvrir sa méchanceté du dangereux manteau de l'hypocrisie, ce n'est point honorer la vertu, c'est l'outrager en profanant ses enseignes ; c'est ajouter la lâcheté et la fourberie à tous les autres vices ; c'est se fermer pour jamais tout retour vers la probité. Réponse de Jean-Jacques Rousseau au Roi de Pologne, Duc de Lorrain
L’homme – tout court- qui occupe aujourd’hui le fauteuil de Ministre de la Justice et Garde des Sceaux – ne me gène en rien ; me semble t-il, il en a largement le profil. Ce qui me trouble par contre, c’est le paquet de sentiments qu’il avait réveillés ou entretenus dans mon cœur lorsque notre pays traitait en son temps de quelques cas ayant trait à l’homosexualité, à la traque des biens mal acquis et au futur jugement du soi-disant « sanguinaire Hissein Habré » par une chambre africaine.
La formation d’un gouvernement doit répondre aux aspirations profondes du peuple mais mieux, elle doit – dans le choix des hommes et des femmes qui le composent- épouser les réalités ontologiques de ce même peuple. En termes plus clairs, pour rester cohérent, un ministre pense et s’exécute en toute harmonie avec les réalités accommodantes, ordinaires et culturelles de sa race. Autrement, il devient un cauchemar, un zombie, un spectre effarant pour ses administrés, pour ses concitoyens. Je sais que les Sénégalais n’ont pas un centime, le moindre centime à dépenser chez un vendeur de vent. Kenn duñu sëlëm* comme il veut, quand il veut et dans ce qu’il veut ! A bon entendeur,….
Pour un poste de Ministre, doit-on changer de conviction ? Je sais seulement que la conviction se distingue de la croyance en ce qu'elle participe à la construction de l'identité individuelle. Maître Sidiki ne peut pas changer de conviction du jour au lendemain au risque de devenir dangereux pour notre Nation. Il a toujours été enseigné que toute violence (ici renonciation) même involontaire (sic..) à l'égard d'une conviction (réfutation, infraction) est en conséquence perçue comme une attaque contre les personnes et le corps social concerné, un viol ; elle appelle donc en retour une réaction de défense. De réaction de défense en réaction de défense, des effets « boule de neige » peuvent se produire, c'est pourquoi on peut voir les convictions comme des vecteurs de violence. L’adage, le beau adage de chez nous nous indiquant que : « bant lumu yaag-yaag ci ndox, du soppleeku jasig ». Bref, Sidiki Kaba sera toujours un défenseur zélé de la dépénalisation de l’homosexualité, un écueil ambulant à la CREI qu’il juge en non-conformité avec les droits humains et un bourreau pour Habré avant son jugement définitif. Oui Maître, on appelle « mauvaise foi » les convictions d’autrui qu’on ne partage pas ! Dans l'histoire comme dans l'actualité, c'est principalement l'aspect social de la conviction qui lui donne son rôle.
Une offense et une insulte au Peuple ? Il est évident que des troubles à l'ordre public et ou social surviennent lorsque les convictions structurant nos sociétés exclusives – n’en déplaise aux droits-de-l’hommiste comme Monsieur le Ministre- sont confrontées à l'irrespect et au pragmatisme issus de la philosophie des lumières ou à une profanation par des soi-disant croyants hostiles, ce qui donne du grain à moudre aux promoteurs de la théorie du choc des civilisations. Parce qu’en vérité, nul ne pourra jamais travailler avec conviction pour les intérêts spécifiques et authentiques de son Peuple sur des questions qui n’épousent en rien sa propre conviction sans passer pour hypocrite. On ne peut convaincre sans être convaincu soi-même car la conviction réelle est la suite de l’évidence. Et l’évidence au Sénégal est que toujours et pour toujours, l’homosexuel restera en « marge » de la société ; que les prédateurs de nos deniers publics seront pourchassés et punis et que Habré mérite un jugement équitable. Ne savez-vous pas Monsieur le Ministre que l’homme est le plus grand prédateur ? Si l’animal tue pour se nourrir, lui tue, vole, viole, incommode et se met en marge de l’ordre social par conviction. On ne choisit pas son camp face à celui de son Peuple sinon nous tombons dans le cercle vicieux de la défiance et de la marginalité.
Hypocrite pour un seul poste de ministre ? L'hypocrisie est l'attitude morale par laquelle un Homme exprimerait des sentiments, des opinions qu’il n'a pas ou qu’il n'approuve pas. Monsieur le Ministre, pour « ceux dont les conduites n'expriment pas les pensées du cœur », plus qu'un manque de sincérité, c'est un manque de loyauté et de droiture. Nous savons tous que le menteur ment mais l’hypocrite lui, parle bien contre sa pensée, comme le menteur, mais son comportement suit des voies détournées qui révèlent une stratégie personnelle. Seulement, notre Peuple veille et jamais il ne se fera surprendre. Nous connaissons la vieille tactique du « pour mieux et bien pourrir le fruit, il faut s’y prendre de l’intérieur ». La théorie du « on peut être hypocrite sans mentir » n’ébranle en rien nos convictions de peuple croyant et africain.
Le reniement de son passé et de ses convictions est une funeste habitude chez beaucoup de ceux que l’on appelle « intellectuels » en Afrique Noire. Ils (ces dits intellectuels) pensent lutter ainsi contre leur présent et pour se créer très vite de l’avenir (surtout politique) en oubliant que leur seul passé peut être l’arme la plus efficace pour les détruire, pour qu’ils s’autodétruisent. Homme sans foi ? Le reniement de leurs convictions primaires c’est-à-dire de leur passé récent peut expliquer leur mauvaise foi : « la vraie foi consiste à ne jamais renier dans les lumières des autres ce qu'on a entrevu dans nos propres ténèbres ».
Le pouvoir (ici un poste de ministre) n’est pas une femme que l’on épouse à sa convenance. Autrement nous serons de ceux que l’on appelle ironiquement « weex gët » chez nous et l’on continuera toujours à se demander : Comment arrêter notre regard sur la première à laquelle on a juré fidélité éternelle quand il y en a des milliers qui nous obligent à renier sans cesse nos premières paroles ? Oui, Monsieur Sidiki Kaba : « renier son passé, c'est se tronquer. L'assumer en le dépassant fait du destin une destinée ». Ceux qui vous ont poussé à accepter le poste de Garde des sceaux ne sont pas vos amis car de manière cynique, le véritable ami est celui à qui on n'a rien à dire et qui n’a rien à nous dire car, il contente à la fois notre sauvagerie et notre besoin de sociabilité.
Faudrait-il faire du cas Sidiki, un mauvais casting gouvernemental ? Si la rupture tant vantée dans la gestion des deniers publics est chose réelle chez le gouvernement, si la dépénalisation de l’homosexualité n’est pas envisageable chez nous et que notre souci reste que la Justice soit réellement et effectivement indépendante pour casser uniquement du délinquant confondu, alors Monsieur le Garde des Sceaux passerait pour un marginal au Conseil des Ministres. Si je prend Jésus au mot, je lui dirai qu’il existe une pauvreté bien plus grande encore que celle des SDF : ne pas se sentir aimé, désiré, compris, écouté, être marginalisé pour ses idées et pour ses convictions ».
Nous savons tous avec Noam Chomsky que dans un État totalitaire, ce que les gens pensent importe peu parce que le gouvernement peut contrôler les gens par la force de la matraque. Mais quand on ne peut plus contrôler par la force, il faut contrôler la pensée. Pour se faire, la manière habituelle est d'utiliser la propagande (la fabrication du consentement, la création d'illusions dites nécessaires), de marginaliser le public ou de les réduire à l'apathie.
Malheureusement, un tel cas de figure est quasi impossible chez nous : par le dialogue comme par la force, Monsieur le Ministre, nous ne penserons jamais qu’il puisse exister un avenir radieux, le moindre avenir pour les homosexuels et pour les prédateurs de nos finances publiques. C’est déjà dit une fois et bien dit pour toujours !

3.Posté par observateur le 25/09/2013 14:41 | Alerter
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Jock stop joking

4.Posté par king mara le 25/09/2013 15:43 (depuis mobile) | Alerter
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Mais madam noubli pa la justice divine vtr mari est un vrai criminel dieu punira les bourreaux inchalah ey recompense les innocents

5.Posté par CANDELA le 25/09/2013 16:02 | Alerter
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vous avez le culot de vous adresser au ministre de la justice qui ne fait que son travail pour que la justice triomphe à l'opposé de votre assassin de mari qui en dehors de toutes les souffrances causees à son peuple a vidé les caisses du Tchad pour se réfugier au Sénégal ( comme on dit senegal moo neekh) mais c est fini pour lui car il va payer au prix fort toutes les injustices et je trouve aussi que cette justice est trop lente en matiere de procédures car ce bouffon devait etre jugée depuis belle lurette et emprisonné et puis on passe à autre chose.

que la peine soit l une des plus corsée jamais enregistrée et il restera son face à face avec son créateur on verra bien imbecile de hissen habre.

6.Posté par miichou le 25/09/2013 16:56 (depuis mobile) | Alerter
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cette femme est soit cinglé soit qu''''elle est juste amoureuse!! mais je me demande moi en tant que femme, comment pourrai-je passer ma vie avc un assassin, un voleur??! ray ay niite, satch khaliss nieuw nocéko, di cii nakhalè sénégalais yi. bravo!

7.Posté par dosele le 25/09/2013 20:23 (depuis mobile) | Alerter
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il est ecoeurant q''en afrique que d es africains se fassent injurer par des genrs qui se prennent pour des etres superieurs a la race noir honte aux africains qui sont a la solde de ces
racistes qui pourtant n''hesitent pas a nous chass

8.Posté par moussa sagna le 26/09/2013 12:33 | Alerter
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elle n'a qu'à s'en prendre à son époux si tant est qu'elle aime l'équité, il est vrai qu'il y a des complices que l'on doit aussi arrêter et juger, mais Habré, du fait de sa posture, est le Grand responsable, mais, question, où était cette femme quand son papa chéri tuer et abuser des tchadiens?

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