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Niger : La Cour constitutionnelle va rejeter la candidature de Hama Amadou au scrutin présidentiel

Rédigé par leral.net le Mardi 5 Janvier 2016 à 11:40 | | 0 commentaire(s)|

La Cour constitutionnelle du Niger va bientôt décider sur les candidatures et rendre publique la liste des candidats autorisés à participer au scrutin présidentiel. Une dizaine de postulants ont déjà fait parvenir à Niamey (capitale), leur dossier au ministère de l’Intérieur.

Parmi ces candidats, Times24 de citer : le Président sortant Mahamadou Issoufou, l’ancien président Mahamane Ousmane, le leader de l’opposition Hama Amadou et de l’ex-Premier ministre du pays du 3 juin 2007 au 23 septembre 2009, Seïni Oumarou, considéré comme un proche de l’ancien président de l’Assemblée nationale du Niger, en prison depuis le 14 novembre dernier. D’autres personnages sont aussi dans ce parcours, l’ex-Premier ministre Cheiffou Amadou, l’ancien ministre du Plan Amadou Boubacar Cissé et l’ancien ministre de l’Agriculture, Abdou Labo, écroué en août 2014 puis remis en liberté provisoire.

Selon des sources judiciaires, la Cour constitutionnelle qui supervisera la présidentielle ne validera pas certaines candidatures. « Le candidat Hama Amadou ne sera pas autorisés à participer au scrutin présidentiel du 21 février » nous souffle-t-on, ajoutant ainsi que « d’autres médias internationaux sont déjà au courant de cette information. »

Pour Bazoum Ministre d’Etat à la Présidence, «le fait qu’il soit candidat n’en fait pas un citoyen au-dessus des lois!». «Personne au Niger ne condamne son arrestation parce que sa cause est impopulaire, a poursuivi ce proche d’Issoufou. Sa morale aurait dû l’empêcher de permettre à sa femme d’acheter des enfants!» La morale peut-être… Mais que dit la justice ?

Les candidats déclarés, Hama Amadou, lui qui avait formé une coalition en 2011, pour que Mahamadou Issoufou devient président et Abdou Labo, sont impliqués dans une affaire présumée de « trafic de bébés ». Tandis qu’au mois de janvier 2015, Seïni Oumarou a été interpellé par la justice de son pays, sur la publication d’un livre critiquant cette Cour constitutionnelle. Le président du Mouvement national pour la société du développement (MNSD) est aussi lié dans l’affaire de détournement de fonds au ministère de l’Éducation de base.

Louis Mar (Times24.info)


Niger : La Cour constitutionnelle va rejeter la candidature de Hama Amadou au scrutin présidentiel

 

Parmi ces candidats, Times24 de citer : le Président sortant Mahamadou Issoufou, l’ancien président Mahamane Ousmane, le leader de l’opposition Hama Amadou et de l’ex-Premier ministre du pays du 3 juin 2007 au 23 septembre 2009Seïni Oumarou, considéré comme un proche de l’ancien président de l’Assemblée nationale du Niger, en prison depuis le 14 novembre dernierD’autres personnages sont aussi dans ce parcours, l’ex-Premier ministre Cheiffou Amadou, l’ancien ministre du Plan Amadou Boubacar Cissé et l’ancien ministre de l’Agriculture, Abdou Labo, écroué en août 2014 puis remis en liberté provisoire.

Selon des sources judiciaires, la Cour constitutionnelle qui supervisera la présidentielle ne validera pas certaines candidatures. « Le candidat Hama Amadou ne sera pas autorisés à participer au scrutin présidentiel du 21 février » nous souffle-t-on, ajoutant ainsi que « d’autres médias internationaux sont déjà au courant de cette information. »

Pour Bazoum Ministre d’Etat à la Présidence, «le fait qu’il soit candidat n’en fait pas un citoyen au-dessus des lois!». «Personne au Niger ne condamne son arrestation parce que sa cause est impopulaire, a poursuivi ce proche d’Issoufou. Sa morale aurait dû l’empêcher de permettre à sa femme d’acheter des enfants!» La morale peut-être… Mais que dit la justice ?

Les candidats déclarés, Hama Amadou, lui qui avait formé une coalition en 2011, pour que Mahamadou Issoufou devient président et Abdou Labo, sont impliqués dans une affaire présumée de « trafic de bébés ». Tandis qu’au mois de janvier 2015, Seïni Oumarou a été interpellé par la justice de son pays, sur la  publication d’un livre critiquant cette Cour constitutionnelle. Le président du Mouvement national pour la société du développement (MNSD) est aussi lié dans l’affaire de détournement de fonds au ministère de l’Éducation de base.

Louis Mar (Times24.info)

Parmi ces candidats, Times24 de citer : le Président sortant Mahamadou Issoufou, l’ancien président Mahamane Ousmane, le leader de l’opposition Hama Amadou et de l’ex-Premier ministre du pays du 3 juin 2007 au 23 septembre 2009Seïni Oumarou, considéré comme un proche de l’ancien président de l’Assemblée nationale du Niger, en prison depuis le 14 novembre dernierD’autres personnages sont aussi dans ce parcours, l’ex-Premier ministre Cheiffou Amadou, l’ancien ministre du Plan Amadou Boubacar Cissé et l’ancien ministre de l’Agriculture, Abdou Labo, écroué en août 2014 puis remis en liberté provisoire.

Selon des sources judiciaires, la Cour constitutionnelle qui supervisera la présidentielle ne validera pas certaines candidatures. « Le candidat Hama Amadou ne sera pas autorisés à participer au scrutin présidentiel du 21 février » nous souffle-t-on, ajoutant ainsi que « d’autres médias internationaux sont déjà au courant de cette information. »

Pour Bazoum Ministre d’Etat à la Présidence, «le fait qu’il soit candidat n’en fait pas un citoyen au-dessus des lois!». «Personne au Niger ne condamne son arrestation parce que sa cause est impopulaire, a poursuivi ce proche d’Issoufou. Sa morale aurait dû l’empêcher de permettre à sa femme d’acheter des enfants!» La morale peut-être… Mais que dit la justice ?

Les candidats déclarés, Hama Amadou, lui qui avait formé une coalition en 2011, pour que Mahamadou Issoufou devient président et Abdou Labo, sont impliqués dans une affaire présumée de « trafic de bébés ». Tandis qu’au mois de janvier 2015, Seïni Oumarou a été interpellé par la justice de son pays, sur la  publication d’un livre critiquant cette Cour constitutionnelle. Le président du Mouvement national pour la société du développement (MNSD) est aussi lié dans l’affaire de détournement de fonds au ministère de l’Éducation de base.

Louis Mar (Times24.info)