Les prostituées dans l’État d’Ekiti au Nigeria sont maintenant confrontées à des difficultés en raison du virus Ebola. Elles disent qu’elles ont été forcées de se détourner des bien rémunérés clients de Lagos pour éviter l’infection. Selon un rapport publié par le Sun.
Une jeune femme, qui a donnée son nom en tant que Lovie baby, est une très belle travailleuse du sexe dans un bordel dans la zone de Ojumose Ado Ekiti a dit au journaliste, après avoir consommé quelques bouteilles de bière sur la facture de celui-ci:
Frère, la vie n’est pas trop belle, mais personne ne veut mourir. Aujourd’hui, si un homme vient à ma rencontre et dit qu’il est de Lagos, je vais courir!. Parce que je ne veux pas être contaminée par le virus Ebola!.
Chichi, une autre travailleuse du sexe dans un bordel à Okeyinmi zone de Ado Ekiti, a dit au journaliste qu’elle était étudiante dans un établissement d’enseignement supérieur à Kano dans le nord du pays. Elle a dit qu’elle a fait tout le chemin de l’Etat de Kano, où elle vit avec ses parents pour faire quelques «pistes» – un terme à la prostitution à temps partiel – avec ses amis et sœurs à Ado Ekiti. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi elle a quitté l’école, elle a répondu que l’école était tout le temps en grève.
Elle a dit:
Même si je sais que les hommes de Lagos paient beaucoup d’argent pour le sexe, mes gens ici m’ont mis en garde de ne pas les laisser me toucher, et encore moins« faire des affaires »avec moi. Je ne veux pas mourir maintenant, donc je n’accepte pas un homme de Lagos maintenant. Je préfère les populations locales. Quand Ebola ne sera plus, alors nous pourrons commencer à penser à jouer avec les hommes de Lagos.
Une autre travailleuse du sexe, qui n’aurait rien à voir avec un homme de Lagos est Joy. La jeune femme, qui prétend qu’elle est du Bénin, capitale de l’État d’Edo, travaille à partir d’une maison d’hôtes le long Iworoko Road, Ado-Ekiti.
Vous voyez, je voulais quitter cet endroit pour Lagos mais ce problème d’Ebola m’a fait changer d’idée.
Elle dit que les hommes dans l’État d’Ekiti ne sont pas trop généreux pour les travailleuses du sexe comme elle.
Je souffre vraiment ici à cause de cela. Mais j’ai récemment détourné toutes demandes de visites à Lagos par mes clients parce que vous ne savez pas qui a et qui n’a pas la maladie, car ils disent qu’un simple baiser ou un contact du corps transmet la maladie.
dit-elle en tirant sur un bâton de cigarette.
Mais d’autres ne sont guère gênées par la maladie. Bien, qu’elles se rétractent à la simple mention du virus Ebola, elles souhaitent et prient qu’elles ne soient jamais visitées par la maladie.
Je ne sais rien à propos de ce genre de chose et je crois que cela ne m’arrivera pas. Mais mon travail marche avec un homme qui peut bien me payer.
Chinwe, une autre travailleuse du sexe dit.
Une jeune femme, qui a donnée son nom en tant que Lovie baby, est une très belle travailleuse du sexe dans un bordel dans la zone de Ojumose Ado Ekiti a dit au journaliste, après avoir consommé quelques bouteilles de bière sur la facture de celui-ci:
Frère, la vie n’est pas trop belle, mais personne ne veut mourir. Aujourd’hui, si un homme vient à ma rencontre et dit qu’il est de Lagos, je vais courir!. Parce que je ne veux pas être contaminée par le virus Ebola!.
Chichi, une autre travailleuse du sexe dans un bordel à Okeyinmi zone de Ado Ekiti, a dit au journaliste qu’elle était étudiante dans un établissement d’enseignement supérieur à Kano dans le nord du pays. Elle a dit qu’elle a fait tout le chemin de l’Etat de Kano, où elle vit avec ses parents pour faire quelques «pistes» – un terme à la prostitution à temps partiel – avec ses amis et sœurs à Ado Ekiti. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi elle a quitté l’école, elle a répondu que l’école était tout le temps en grève.
Elle a dit:
Même si je sais que les hommes de Lagos paient beaucoup d’argent pour le sexe, mes gens ici m’ont mis en garde de ne pas les laisser me toucher, et encore moins« faire des affaires »avec moi. Je ne veux pas mourir maintenant, donc je n’accepte pas un homme de Lagos maintenant. Je préfère les populations locales. Quand Ebola ne sera plus, alors nous pourrons commencer à penser à jouer avec les hommes de Lagos.
Une autre travailleuse du sexe, qui n’aurait rien à voir avec un homme de Lagos est Joy. La jeune femme, qui prétend qu’elle est du Bénin, capitale de l’État d’Edo, travaille à partir d’une maison d’hôtes le long Iworoko Road, Ado-Ekiti.
Vous voyez, je voulais quitter cet endroit pour Lagos mais ce problème d’Ebola m’a fait changer d’idée.
Elle dit que les hommes dans l’État d’Ekiti ne sont pas trop généreux pour les travailleuses du sexe comme elle.
Je souffre vraiment ici à cause de cela. Mais j’ai récemment détourné toutes demandes de visites à Lagos par mes clients parce que vous ne savez pas qui a et qui n’a pas la maladie, car ils disent qu’un simple baiser ou un contact du corps transmet la maladie.
dit-elle en tirant sur un bâton de cigarette.
Mais d’autres ne sont guère gênées par la maladie. Bien, qu’elles se rétractent à la simple mention du virus Ebola, elles souhaitent et prient qu’elles ne soient jamais visitées par la maladie.
Je ne sais rien à propos de ce genre de chose et je crois que cela ne m’arrivera pas. Mais mon travail marche avec un homme qui peut bien me payer.
Chinwe, une autre travailleuse du sexe dit.
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