« Au-delà du recrutement de 6.000 éléments pour renforcer les forces de l’ordre et du limogeage du général Jean Baptiste Tine, un officier républicain, il (Ndlr, le Président Macky Sall) a nommé ses hommes, il veut encore mettre en place une loi répressive pour mater les opposants, les activistes... Il se cache derrière le mot terrorisme pour faire passer la loi. De surcroît, lui et ses quatre mousquetaires veulent brûler le pays, en instaurant cette loi », a dénoncé le leader de Pastef.
Revenant sur la loi, prétexte de la conférence de presse, il s’est désolé du fait que « malheureusement, cette loi ne définit pas le mot terrorisme. Secundo, il a pris des infractions du code pénal encadrées par le code de procédure pénale, qu’il définit désormais comme terrorisme », a encore dénoncé le plus farouche opposant du président de la République, à l’heure actuelle.
Revenant sur la loi, prétexte de la conférence de presse, il s’est désolé du fait que « malheureusement, cette loi ne définit pas le mot terrorisme. Secundo, il a pris des infractions du code pénal encadrées par le code de procédure pénale, qu’il définit désormais comme terrorisme », a encore dénoncé le plus farouche opposant du président de la République, à l’heure actuelle.