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PHOTO – Le styliste de Mela­nia Trump explique sa tenue en hommage à la France pendant son dîner à la Tour Eiffel

Rédigé par leral.net le Samedi 15 Juillet 2017 à 12:37 | | 0 commentaire(s)|

Hervé Pierre, styliste français, a expliqué le symbo­lisme caché derrière la robe qu’ar­bo­rait Mela­nia Trump au dîner prési­den­tiel qui s’est tenu, ce 13 juillet, au Jules Verne.

."Invité à Paris pour célé­brer le cente­naire de l’en­trée en guerre des États-Unis, le couple Trump s’est d’abord livré à une visite guidée des Inva­lides, au cours de laquelle, le président améri­cain s’est distin­gué par un commen­taire douteux sur le physique de Brigitte Macron, avant de termi­ner la jour­née par un dîner. Et pas n’im­porte lequel, puisque le repas, dont le menu a été soigneu­se­ment élaboré par Emma­nuel Macron, s’est déroulé dans le cadre du somp­tueux Jules Verne, restau­rant situé au deuxième étage de la Tour Eiffel.

Pour l’oc­ca­sion, Mela­nia Trump a revêtu une robe droite trico­lore. Tout un symbole comme l’ex­plique le coutu­rier Hervé Pierre à Paris Match. « Cette robe est évidem­ment un clin d'oeil au drapeau français, mais c'est plus complexe que ça. Si elle m'avait dit : "Faites-moi une robe bleu blanc rouge", ça m'aurait bloqué. Il se trouve qu'elle aimait le haut blanc crème, moi le bas bleu, et pour la cein­ture, la meilleure couleur c'était le rouge. » La First Lady lui a “ simple­ment dit qu'elle voulait un décol­leté carré. Il l'est, arrondi sur les angles. Et elle voulait une robe sans manches. C'est l'été

Un pari réussi donc pour ce Français, qui n’en est pas à son coup d’es­sai avec Mela­nia Trump. C’est, en effet, lui qui a dessiné la robe qu’elle portait au bal d’in­ves­ti­ture de son époux. Depuis, ces deux-là ne se quittent plus.

On se voit presque toutes les semaines, sur New York en géné­ral. Je crois que je suis une bouf­fée d’air frais pour elle, vu l’ac­tua­lité en Amérique. Je ne l’en­nuie pas avec des ques­tions sur la réforme de l’as­su­rance-mala­die aux États-Unis, sujet dont je me contre­fiche, car je ne fais pas de poli­tique” a-t-il confié.