Busquets a laissé entendre que l’entraîneur Luis Enrique, n’était pas étranger à ce fiasco. «Le plan tactique du PSG était meilleur que le nôtre.
Ce n’est pas un problème d’attitude mais plutôt de football", a jugé Sergio Busquets, sur TV3 encore, visant clairement les choix de son entraîneur, sans le citer. Le PSG a réussi à suivre le plan qu’il souhaitait, dans toutes les lignes. Nous avons fonctionné différemment.»
Andres Iniesta a résumé le sentiment de ses partenaires de façon très simple : «Ils nous ont été supérieurs en tout, dans tous les compartiments du jeu et nous ont mis beaucoup en danger. Ils ont été très efficaces. Ça a été une très mauvaise journée.»
En conférence de presse d’après match, l’entraîneur avait bien du mal à expliquer cette défaite, quand bien même il n’a eu aucun mal à rendre hommage à son bourreau, dont il a reconnu la supériorité. Mais une scène surréaliste a marqué les esprits après la conférence, Luis Enrique a manqué d’en venir aux mains avec un journaliste au ton persifleur.
Sur les nerfs, et voyant rouge après une question du journaliste de TV3 Jordi Grau, qui l’interrogeait sur les déclarations de Sergio Busquets selon lequel le Barça n’avait pas été assez bien préparé, aussi bien mentalement que tactiquement. Une réflexion que le coach blaugrana n’a que modérément appréciée…
« Je pense qu’utiliser le sujet de l’intensité est un peu facile, non ? », a-t-il tout d’abord répondu, tentant de donner bonne figure. « S’il y a un responsable, c’est moi, je l’assume. Mais quand on gagne, j’aimerai être traité de la même manière. » Et Luis Enrique d’insister en s’adressant à l’indélicat « le traitement que tu me réserves actuellement et le ton que tu emploies… j’aimerai avoir le même après les victoires.»
Mais après avoir essayé de se contenir devant les micros, Luis Enrique aurait craqué au moment de quitter la salle d’interview. A tel point que selon El Chiringuito et As, l’entraîneur espagnol aurait voulu se battre avec le journaliste, trois personnes n’étant pas de trop pour le contenir.
« Lâchez-moi », aurait-il hurlé avant de répéter à l’adresse de Jordi Grau « Le résultat est là mais on verra si tu utilises ce petit ton quand on gagne. » Excédé, l’ancien joueur du Real aurait ensuite refusé une interview à Atresmedia qui a pourtant les droits…
Thierno Malick Ndiaye
Ce n’est pas un problème d’attitude mais plutôt de football", a jugé Sergio Busquets, sur TV3 encore, visant clairement les choix de son entraîneur, sans le citer. Le PSG a réussi à suivre le plan qu’il souhaitait, dans toutes les lignes. Nous avons fonctionné différemment.»
Andres Iniesta a résumé le sentiment de ses partenaires de façon très simple : «Ils nous ont été supérieurs en tout, dans tous les compartiments du jeu et nous ont mis beaucoup en danger. Ils ont été très efficaces. Ça a été une très mauvaise journée.»
En conférence de presse d’après match, l’entraîneur avait bien du mal à expliquer cette défaite, quand bien même il n’a eu aucun mal à rendre hommage à son bourreau, dont il a reconnu la supériorité. Mais une scène surréaliste a marqué les esprits après la conférence, Luis Enrique a manqué d’en venir aux mains avec un journaliste au ton persifleur.
Sur les nerfs, et voyant rouge après une question du journaliste de TV3 Jordi Grau, qui l’interrogeait sur les déclarations de Sergio Busquets selon lequel le Barça n’avait pas été assez bien préparé, aussi bien mentalement que tactiquement. Une réflexion que le coach blaugrana n’a que modérément appréciée…
« Je pense qu’utiliser le sujet de l’intensité est un peu facile, non ? », a-t-il tout d’abord répondu, tentant de donner bonne figure. « S’il y a un responsable, c’est moi, je l’assume. Mais quand on gagne, j’aimerai être traité de la même manière. » Et Luis Enrique d’insister en s’adressant à l’indélicat « le traitement que tu me réserves actuellement et le ton que tu emploies… j’aimerai avoir le même après les victoires.»
Mais après avoir essayé de se contenir devant les micros, Luis Enrique aurait craqué au moment de quitter la salle d’interview. A tel point que selon El Chiringuito et As, l’entraîneur espagnol aurait voulu se battre avec le journaliste, trois personnes n’étant pas de trop pour le contenir.
« Lâchez-moi », aurait-il hurlé avant de répéter à l’adresse de Jordi Grau « Le résultat est là mais on verra si tu utilises ce petit ton quand on gagne. » Excédé, l’ancien joueur du Real aurait ensuite refusé une interview à Atresmedia qui a pourtant les droits…
Thierno Malick Ndiaye
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